Que pensez-vous du mariage mixte entre amazigh et arabe?
Donnez vos avis tous le monde est le bienvenue!Moi! Dans mon expérience de tous les jours!Je n’en ai pas beaucoup vu qui ont tenu! On ne s’entend pas trop bien!Pourquoi?
Quelle est cette raison?
Pourtant nous sommes avant tous Mouslimin! Non?
ça doit être la seule cause qui puisse séparer!
Y'a t'il une importance culturelle pour le mariage?
samedi 8 mars 2008
Magique voiture
Cette photo est sans trucages .Ni canular ni remake du film L’Espion qui m’aimait de 1977, dans lequel James Bond conduit sous l’eau une Lotus Esprit.
C’est la première voiture capable de se déplacer sous l’eau. Il s’appelle la sQuba Imaginée par le Suisse Frank Rinderknecht, PDG de Rinspeed, cette Lotus Elise cabriolet submersible fonctionne grâce à trois moteurs électriques. Cet étonnant véhicule, visible au Salon de Genève jusqu’au 16 mars, peut plonger jusqu’à 10 mètres et atteindre les 3 km/h.
C’est la première voiture capable de se déplacer sous l’eau. Il s’appelle la sQuba Imaginée par le Suisse Frank Rinderknecht, PDG de Rinspeed, cette Lotus Elise cabriolet submersible fonctionne grâce à trois moteurs électriques. Cet étonnant véhicule, visible au Salon de Genève jusqu’au 16 mars, peut plonger jusqu’à 10 mètres et atteindre les 3 km/h.
ticket mach belgique vs belgique
Plus aucun ticket pour le match amical qui opposera les Diables Rouges au Maroc au stade Roi Baudouin le 26 mars ne peut désormais être vendu via le site internet de l'Union belge. Ainsi en a décidé le Bourgmestre de Bruxelles, Freddy Thielemans pour des raisons de sécurité, a-t-il communiqué mardi.
En outre, le Bourgmestre de Bruxelles a précisé qu'il n'y aura aucune vente de tickets aux guichets le jour de la rencontre. Prenant acte de cette décision, l'Union belge de football vendra des tickets pour ce match amical international aux guichets du bâtiment fédéral (Avenue Houba de Strooper 145, 1020 Bruxelles), et ce, dès le lundi 10 mars jusqu'au mardi 25 mars.
Source: 7sur7.be
En outre, le Bourgmestre de Bruxelles a précisé qu'il n'y aura aucune vente de tickets aux guichets le jour de la rencontre. Prenant acte de cette décision, l'Union belge de football vendra des tickets pour ce match amical international aux guichets du bâtiment fédéral (Avenue Houba de Strooper 145, 1020 Bruxelles), et ce, dès le lundi 10 mars jusqu'au mardi 25 mars.
Source: 7sur7.be
La police fédérale belge salue l'excellente coopération de la part des autorités marocaines dans le cadre de l'affaire Belliraj
Bruxelles, 06/03/08- Le directeur judiciaire de la police fédérale de Bruxelles, Glenn Audenaert, a salué l'excellente coopération avec les autorités marocaines dans le cadre du démantèlement du réseau terroriste Belliraj.
"Au moment de revenir en Belgique, les policiers que nous avons envoyés au Maroc trouvent qu'ils ont eu une très bonne, voire une excellente coopération de la part de leurs homologues marocains", a souligné M. Audenaert, cité jeudi par le journal "Le Soir".
Le responsable belge a également précisé que les informations recueillies au Maroc "sont en tout cas suffisantes pour évaluer quel sera le contenu des commissions rogatoires à venir".
Le Soir rappelle que six policiers belges spécialisés en terrorisme et grand banditisme ont été envoyés, lundi au Maroc, pour prendre connaissance des informations marocaines, ajoutant que ces derniers ont pu avoir accès aux comptes rendus des interrogatoires et eu des entretiens avec les policiers en charge du dossier.
Le Soir affirme également qu'une commission rogatoire officielle ira au Maroc pour en ramener les éléments concrets et dans le même temps le Maroc va probablement envoyer une commission rogatoire en Belgique pour enrichir son dossier des éléments relatifs aux assassinats commis en Belgique.
Quant à Belliraj, estime le journal, il ne devrait plus revenir en Belgique car même s'il est de nationalités marocaine et belge, seule la première compte au Maroc, ajoutant que les informations qui figurent dans son dossier à Rabat pourraient permettre d'identifier ses complices.
Source : map
"Au moment de revenir en Belgique, les policiers que nous avons envoyés au Maroc trouvent qu'ils ont eu une très bonne, voire une excellente coopération de la part de leurs homologues marocains", a souligné M. Audenaert, cité jeudi par le journal "Le Soir".
Le responsable belge a également précisé que les informations recueillies au Maroc "sont en tout cas suffisantes pour évaluer quel sera le contenu des commissions rogatoires à venir".
Le Soir rappelle que six policiers belges spécialisés en terrorisme et grand banditisme ont été envoyés, lundi au Maroc, pour prendre connaissance des informations marocaines, ajoutant que ces derniers ont pu avoir accès aux comptes rendus des interrogatoires et eu des entretiens avec les policiers en charge du dossier.
Le Soir affirme également qu'une commission rogatoire officielle ira au Maroc pour en ramener les éléments concrets et dans le même temps le Maroc va probablement envoyer une commission rogatoire en Belgique pour enrichir son dossier des éléments relatifs aux assassinats commis en Belgique.
Quant à Belliraj, estime le journal, il ne devrait plus revenir en Belgique car même s'il est de nationalités marocaine et belge, seule la première compte au Maroc, ajoutant que les informations qui figurent dans son dossier à Rabat pourraient permettre d'identifier ses complices.
Source : map
Liste des milliardaires du monde 2008
Ceci est la liste des milliardaires du monde telle que publiée par le magazine américaines Forbes pour l'année 2008
Nom Fortune Pays
1-Warren Buffett/$62.0 milliards/ États-Uni
2-Carlos Slim Helú/$60.0 milliards/ Liban
3-Bill Gates/$58.0 milliards/ États-Unis
4-Lakshmi Mittal/$45.0 milliards /Inde
5-Mukesh Ambani/$43.0 milliards /Inde
6-Anil Ambani/$42.0 milliards/ Inde
7-Ingvar Kamprad/ $31.0 milliards /Suède
8-KushaPal Singh/$30.0 milliards/ Inde
9-Oleg Deripaska/$28.0 milliards /Russie
10-Karl Albrecht/$27.0 milliards / Allemagne
11-Li Ka-shing/$26.5 milliards /Hong Kong
12-Sheldon Adelson/$26.0 milliards /États-Unis
13-Bernard Arnault/$25.5 milliards /France
14-Lawrence Ellison/$25.0 milliards/ États-Unis
15-Roman Abramovich/$23.5 milliards /Russie
16-Theo Albrecht/$23.0 milliards / Allemagne
17-Liliane Bettencourt/$22.9 milliards/ France
18-Alexei Mordashov/$21.2 milliards/ Russie
19-Al-Walid ben Talal Al Saoud/$21.0 milliards/ Arabie saoudite
20-Mikhail Fridman/$20.8 milliards/ Russie
milliardaires du monde/classement milliardaires/milliardaires 2008/les mlus milliardaires/riches du monde/riches 2008/plus riches du monde/classement des milliardaire/les plus riches du monde.famous milliardaires du monde/les milliardaires du maroc/milliardaires arabe/
Nom Fortune Pays
1-Warren Buffett/$62.0 milliards/ États-Uni
2-Carlos Slim Helú/$60.0 milliards/ Liban
3-Bill Gates/$58.0 milliards/ États-Unis
4-Lakshmi Mittal/$45.0 milliards /Inde
5-Mukesh Ambani/$43.0 milliards /Inde
6-Anil Ambani/$42.0 milliards/ Inde
7-Ingvar Kamprad/ $31.0 milliards /Suède
8-KushaPal Singh/$30.0 milliards/ Inde
9-Oleg Deripaska/$28.0 milliards /Russie
10-Karl Albrecht/$27.0 milliards / Allemagne
11-Li Ka-shing/$26.5 milliards /Hong Kong
12-Sheldon Adelson/$26.0 milliards /États-Unis
13-Bernard Arnault/$25.5 milliards /France
14-Lawrence Ellison/$25.0 milliards/ États-Unis
15-Roman Abramovich/$23.5 milliards /Russie
16-Theo Albrecht/$23.0 milliards / Allemagne
17-Liliane Bettencourt/$22.9 milliards/ France
18-Alexei Mordashov/$21.2 milliards/ Russie
19-Al-Walid ben Talal Al Saoud/$21.0 milliards/ Arabie saoudite
20-Mikhail Fridman/$20.8 milliards/ Russie
milliardaires du monde/classement milliardaires/milliardaires 2008/les mlus milliardaires/riches du monde/riches 2008/plus riches du monde/classement des milliardaire/les plus riches du monde.famous milliardaires du monde/les milliardaires du maroc/milliardaires arabe/
jeudi 6 mars 2008
Comment gérer la fuite des cerveaux marocains
Depuis la conférence de Rabat en 2006, l’approche adoptée pour affronter la migration a sensiblement changé. Tous les pays concernés par ce phénomène ont compris la limite de la stratégie sécuritaire pour l’appréhender d’une manière plus globale.
Ce message a été rappelé par Youssef Amrani, directeur général au ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, à l’occasion de l’ouverture des travaux de la réunion des experts sur la migration légale tenue à Rabat les 3 et 4 mars. Pour lui, la rencontre de Rabat a marqué le point de départ d’un processus de concertation ambitieux, axé sur la coopération politique et économique, le co-développement, ainsi que la création de politiques publiques migratoires. «Cette conférence s’est singularisée par son approche globale du phénomène, qui a rassemblé dans un esprit de solidarité agissante et de responsabilité partagée, les pays d’origines, de transit et de destination des migrants», ajoute-t-il.Cette rencontre a connu la participation de plusieurs experts dans le domaine, représentant 57 pays européens et africains. Des experts qui ont convenu de la nécessité d’organiser la migration légale sur la base d’un certain nombre de mécanismes, notamment celui de la migration circulaire. Il a également été question d’approfondir la question de la protection sociale du migrant. Sur ce point, il faut souligner que les travaux ont été marqués par la présentation d’un document préparé par la partie marocaine sur «la mise en place du plan d’actions de Rabat». Ce document constituera une plate-forme de travail pour la prochaine conférence de Paris, prévue les 20 et 21 octobre prochains.En matière de travail saisonnier, il faut rappeler l’expérience initiée par le Maroc en partenariat avec l’Union européenne dans le cadre du projet Meda II. Et c’est l’Agence nationale de la promotion de l’emploi et des compétences (Anapec) qui a été chargée de mener ce dossier. Sa mission est de prospecter toutes les opportunités de placement à l’étranger des marocains candidats à l’émigration. Les résultats obtenus sont encourageants. En effet, en 2007, plus de 5.000 personnes ont travaillé à la cueillette des fraises dans les champs du sud de l’Espagne (www.leconomiste.com). Pour 2008, l’Anapec table sur la création de 12.000 emplois saisonniers. Des efforts seront renforcés en matière de prospection dans d’autres pays comme la France, l’Italie et le Portugal.
«Préférence nationale»
La question de l’émigration des cadres a été également examinée par les experts lors de la réunion de Rabat. Pour Youssef Amrani, directeur général au ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, le recrutement des cadres des pays du sud ne doit pas toucher les secteurs qui connaissent une pénurie en main d’œuvre. «En clair, il faut veiller à préserver notre propre développement. Donc, privilégier la notion de préférence nationale.Toutes les prévisions actuelles montrent que les pays du nord seront confrontés, dans les prochaines années, à une forte pénurie en cadres qualifiés.
source :Nour Eddine El AissiSource: L'Economiste
Ce message a été rappelé par Youssef Amrani, directeur général au ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, à l’occasion de l’ouverture des travaux de la réunion des experts sur la migration légale tenue à Rabat les 3 et 4 mars. Pour lui, la rencontre de Rabat a marqué le point de départ d’un processus de concertation ambitieux, axé sur la coopération politique et économique, le co-développement, ainsi que la création de politiques publiques migratoires. «Cette conférence s’est singularisée par son approche globale du phénomène, qui a rassemblé dans un esprit de solidarité agissante et de responsabilité partagée, les pays d’origines, de transit et de destination des migrants», ajoute-t-il.Cette rencontre a connu la participation de plusieurs experts dans le domaine, représentant 57 pays européens et africains. Des experts qui ont convenu de la nécessité d’organiser la migration légale sur la base d’un certain nombre de mécanismes, notamment celui de la migration circulaire. Il a également été question d’approfondir la question de la protection sociale du migrant. Sur ce point, il faut souligner que les travaux ont été marqués par la présentation d’un document préparé par la partie marocaine sur «la mise en place du plan d’actions de Rabat». Ce document constituera une plate-forme de travail pour la prochaine conférence de Paris, prévue les 20 et 21 octobre prochains.En matière de travail saisonnier, il faut rappeler l’expérience initiée par le Maroc en partenariat avec l’Union européenne dans le cadre du projet Meda II. Et c’est l’Agence nationale de la promotion de l’emploi et des compétences (Anapec) qui a été chargée de mener ce dossier. Sa mission est de prospecter toutes les opportunités de placement à l’étranger des marocains candidats à l’émigration. Les résultats obtenus sont encourageants. En effet, en 2007, plus de 5.000 personnes ont travaillé à la cueillette des fraises dans les champs du sud de l’Espagne (www.leconomiste.com). Pour 2008, l’Anapec table sur la création de 12.000 emplois saisonniers. Des efforts seront renforcés en matière de prospection dans d’autres pays comme la France, l’Italie et le Portugal.
«Préférence nationale»
La question de l’émigration des cadres a été également examinée par les experts lors de la réunion de Rabat. Pour Youssef Amrani, directeur général au ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, le recrutement des cadres des pays du sud ne doit pas toucher les secteurs qui connaissent une pénurie en main d’œuvre. «En clair, il faut veiller à préserver notre propre développement. Donc, privilégier la notion de préférence nationale.Toutes les prévisions actuelles montrent que les pays du nord seront confrontés, dans les prochaines années, à une forte pénurie en cadres qualifiés.
source :Nour Eddine El AissiSource: L'Economiste
Derb Ghallef
La célèbre Joutia casablancaise intrigue autant qu'elle séduit. Place commerciale d'une compétitivité impressionnante, elle se distingue par ses pratiques complexes et la forte réactivité de ses commerçants.
Le cliché est bien ancré : Derb Ghallef est l'antre de l'informel. Pourtant, la réalité semble bien différente. Le souk casablancais est un véritable carrefour où se croisent les circuits formels et informels. Clientèle et fournisseurs sont souvent issus de circuits de distribution structurés, les paiements sont parfois adossés au système bancaire et la moitié (au moins) des commerçants sont même connus du fisc, puisqu'ils s'acquittent de la patente. Autant de frontières floues entre l'économie formelle et informelle que pointe une étude socio-économique, à paraître sur la revue Economia (voir encadré). Bonnes feuilles résumées.Aux origines de la JoutiaDerb Ghallef, l'originel, est situé à près d'un kilomètre du lieu de la Joutia actuelle. C'est un espace sur une largeur de trois ruelles, réservé dès les années 20 à un marché, la Souika. En 1959, un incendie réduit ce souk en cendres, obligeant les commerçants à s'installer sur l'ancienne route de Bouskoura. Les commerces de cette “nouvelle” Joutia vont alors se multiplier et se diversifier progressivement. Le nombre de commerçants va aller en se décuplant jusqu'en 1982 où un nouvel incendie ravage ce marché. Quelques mois auparavant, une enquête a répertorié officieusement les marchands, commerçants et artisans de la Joutia, selon la taille des espaces, l'activité et un ensemble d'autres indicateurs. Une cartographie globale est ainsi construite avec pour idée initiale de préparer un déménagement au souk de Hay Hassani. Le hic : il n'y a pas assez d'espace pour contenir cette population. On se rabat alors sur Derb Ghallef : le terrain actuel de la Joutia appartient à plus d'une cinquantaine d'héritiers dont la plupart vivent à l'étranger et se manifestent peu. Une solution illégale, mais les autorités de l'époque passent outre : “Le terrain était vide, il y avait seulement des figues et des plantes sauvages, parfois des agressions et des vols. Les responsables à la préfecture nous ont alors rassemblés pour nous donner des autorisations d'installation provisoire pour 8 ou dix ans”, se souvient ce sexagénaire, vendeur de meubles. Vingt-cinq ans plus tard, la Joutia est toujours sur ce même terrain. (…)Depuis, Derb Ghallef a beaucoup évolué. La Joutia d'avant 1982 et celle d'aujourd'hui ont des configurations différentes. Dans la première, il y avait quelque 700 locaux, aujourd'hui il y a 1387 personnes réparties entre la Joutia elle-même (938 commerces), le marché Salam, dit de Selk car entouré de barbelés (449) et les Ferrachas (128) qui étalent régulièrement leurs marchandises, bien connus par la commune. Sans oublier ceux qui gravitent autour de la Joutia en attendant un changement de statut. (…)La débrouillardise fait la notoriétéMarché de la débrouillardise par excellence, l'auto-emploi à Derb Ghallef peut se présenter sous des formes d'associations aussi diverses que complexes. Elles ne se basent pas uniquement sur un apport de capital, mais tiennent aussi compte de qualifications complémentaires. Dans les commerces d'informatique ou de téléphones portables, un réparateur peut ainsi s'associer à un commerçant moyennant un pourcentage sur les opérations réalisées. Dans d'autres cas, un associé/assistant peut avoir sa propre marchandise déposée dans le local du propriétaire, auquel il verse une commission sur les ventes. Pour la grille des salaires, le montant de la rémunération des gérants de magasin de téléphones portables peut atteindre 6000 DH. Les moins bien lotis de Derb Ghallef sont payés à la semaine. Des avantages en nature ou des primes sont parfois accordés : repas ou frais de transport. Dans l'alimentaire par exemple, le montant de la rémunération est de 1200 DH par mois, plus 10 DH chaque jour pour les repas. (…)Pourtant, les commerces de Derb Ghallef se caractérisent par la faiblesse du nombre d'emplois : les effectifs ne dépassent pas cinq personnes et la main d'œuvre familiale est prédominante. Selon le recensement réalisé par le Haut commissariat au plan, le nombre moyen d'emplois est de 2,3 personnes par unité. Les activités qui concentrent le plus de main d'œuvre sont la friperie (12%), la vente et la réparation d'appareils électroniques (10%), l'ameublement (10%) et les vêtements (9%). (…)Derb Ghallef s'est fait une réputation à part, par rapport aux autres souks. Certains marchands n'hésitent pas à le comparer aux grandes surfaces structurées. “Dans la Joutia, on trouve des produits de marque avec plus d'“options” et pour 50% moins cher par rapport à Marjane”, se vante ce vendeur de paraboles. Les avantages commerciaux que procure sa localisation font l'unanimité chez les commerçants. Mais son principal atout réside dans l'existence d'un espace d'informalité où les prix demeurent inférieurs à ceux pratiqués dans le circuit structuré. Cet argument est avancé par la grande majorité des opérateurs (électronique, informatique, prêt-à-porter de luxe) qui affirment que les prix sont de 15% inférieurs à ceux pratiqués dans le secteur formel. C'est aussi le cas dans l'alimentaire, où les prix des produits importés par les réseaux non officiels sont plus compétitifs que les produits locaux. (…)D'où viennent tous ces produits ?Les réseaux d'approvisionnement de Derb Ghallef sont multiples. Les commerces d'appareils électroniques, informatiques, d'alimentaire et de pneumatiques cumulent à la fois des réseaux formels et informels. Les marchandises proviennent de grandes entreprises structurées, ou encore de grossistes de Garage Allal ou Derb Omar qui font leurs emplettes chez les importateurs de Chine et d'Europe. L'approvisionnement s'appuie aussi sur des réseaux de migrants. Parfois, ce sont même des fournisseurs individuels : “Les émigrés d'Allemagne, des Pays-Bas et de Belgique apportent beaucoup de PC, téléphones, PlayStation… Nous les connaissons, alors on fixe rendez-vous, on négocie et on conclut le marché”, raconte ce commerçant en informatique. (…)Les tenanciers sont néanmoins confrontés à des difficultés d'approvisionnement qui varient selon l'activité. Certains grossistes déclarent subir les contrôles douaniers, “allant jusqu'à perdre dans certains cas leur marchandise”. Pour faire face à ces entraves, certains contournent la réglementation. À titre d'exemple, les importateurs de vêtements enlèvent les étiquettes ou changent le nom des marques pour éviter le paiement des taxes. Pour faire face aux ruptures de stock et fidéliser la clientèle, les commerçants empruntent le produit chez leurs collègues, moyennant une partie de la marge bénéficiaire. Et face à l'insuffisance de liquidités, le crédit fournisseur fonctionne au maximum. (…)Les “facilités fournisseur-client” (talq) constituent une pratique très courante pour la quasi-totalité des activités de la Joutia. Le crédit est même accordé par des usines structurées qui entretiennent des relations avec certains commerces, comme le matériel informatique. Adapté au caractère instable des activités, souple au niveau des délais de remboursement, facile d'accès, le talq est largement sollicité par les commerçants. Il constitue une alternative à l'absence de recours au crédit bancaire. Mais ce système n'aurait guère été possible sans la force des relations personnelles, les critères de confiance et de moralité des bénéficiaires, dans une économie de proximité. (…)Une machine à cashLe revenu des locataires de Derb Ghallef est un sujet sensible, surtout chez ceux qui opèrent dans les produits de contrebande. Il est difficile d'estimer correctement ce revenu en l'absence d'une comptabilité et les confusions entre caisse de l'entreprise et celle de la famille. Interrogé sur leurs revenus journaliers, les commerçants répondent en chœur : “C'est une question de 'arzaq'”. Néanmoins, la fourchette varie globalement entre 200 et 500 DH par jour… “Et des fois, rien”, le jure ce fripier. Pour les vendeurs de produits alimentaires, la marge se situe entre 200 et 300 DH par jour. Pour les vendeurs de chaussures, on estime le revenu mensuel à 5000 DH en période de forte activité. (…)Côté clientèle, les catégories sociales sont hétérogènes : la clientèle aisée et moyenne (pour le prêt-à-porter de luxe), les professions libérales structurées (avocats, médecins pour le matériel de bureau), les étudiants, mais également les catégories à faibles revenus. La demande intègre aussi des grossistes qui opèrent à l'extérieur de la Joutia : les commerces d'appareils électroniques, de produits informatiques et de téléphones portables s'adressent à des revendeurs basés aux quatre coins du pays. La clientèle peut aussi venir du secteur formel. “Toute personne ayant une ordonnance pour avoir des lunettes peut venir ici... On lui ramène la marque qu'elle veut, même d'Allemagne. Les opticiens diplômés viennent d'ailleurs s'approvisionner chez nous”, explique un vendeur en optique. (…)Le paiement s'effectue généralement au comptant et en espèces, notamment dans les activités à faible marge bénéficiaire (friperie). Mais pour faire face à la concurrence, l'usage de facilités de paiement contre un chèque de garantie est une pratique courante dans la plupart des activités (ameublement, luminaires…) disposant d'une assise financière. Ce qui signifie qu'il existe bel et bien des relations entre les systèmes financiers formel et informel. (…)Par ailleurs, l'absence de facture, favorisée par la dominance de la clientèle privée, est généralement la règle dans les transactions. Toutefois, il y a toujours moyen de trouver une facture en cas de vente aux entreprises : elle est directement délivrée par des fournisseurs, eux-mêmes issus du secteur formel, afin de pouvoir récupérer la TVA. Cette pratique est quasi générale dans des activités comme l'électronique et l'informatique. (…)Derb Ghallef, une zone franche ?Selon le recensement du HCP, le nombre d'unités inscrites à la patente ne dépasse pas 51%. Appelé “le forfait”, cet impôt touche la majorité des locataires de la Joutia. Ceci se comprend aisément puisque son paiement est forcément lié à l'enregistrement et reste une condition de l'exercice de l'activité. Le montant de la patente, établi sur une base forfaitaire, est variable selon les activités. À titre d'exemple, les commerces de produits alimentaires s'acquittent de 1000 DH annuels de patente, le commerce de jouets de 500 DH et les commerces d'accessoires de voiture de 1200 DH. (…)L'inscription au registre de commerce touche moins d'unités que la patente, mais la plupart des activités (électronique, informatique, téléphonie, accessoires de voiture, meubles et ameublement de bureau, luminaires, vêtements de luxe, groupes électrogènes, friperie) y sont enregistrés et n'échappent pas au contrôle de l'État. Certaines de ces activités évolutives s'acquittent même de l'IGR, une réglementation rarement respectée dans la Joutia. En revanche, aucune activité ne s'acquitte de la TVA. Il en est de même des taxes locales qui, autrefois respectées, ne le sont plus par certains. “On payait 2 DH/jour puis 60 DH/mois, mais maintenant, le souk entier ne paie plus”, raconte ce fripier. (…)En observant en partie la réglementation fiscale, Derb Ghallef ne fonctionne donc pas complètement en marge de la légalité. Certains impôts sont respectés, d'autres le sont moins ou pas du tout, mais la majorité des tenanciers est connue des pouvoirs publics. Ses activités n'échappent donc pas totalement au contrôle des services étatiques.
source :TelQuel.
Le cliché est bien ancré : Derb Ghallef est l'antre de l'informel. Pourtant, la réalité semble bien différente. Le souk casablancais est un véritable carrefour où se croisent les circuits formels et informels. Clientèle et fournisseurs sont souvent issus de circuits de distribution structurés, les paiements sont parfois adossés au système bancaire et la moitié (au moins) des commerçants sont même connus du fisc, puisqu'ils s'acquittent de la patente. Autant de frontières floues entre l'économie formelle et informelle que pointe une étude socio-économique, à paraître sur la revue Economia (voir encadré). Bonnes feuilles résumées.Aux origines de la JoutiaDerb Ghallef, l'originel, est situé à près d'un kilomètre du lieu de la Joutia actuelle. C'est un espace sur une largeur de trois ruelles, réservé dès les années 20 à un marché, la Souika. En 1959, un incendie réduit ce souk en cendres, obligeant les commerçants à s'installer sur l'ancienne route de Bouskoura. Les commerces de cette “nouvelle” Joutia vont alors se multiplier et se diversifier progressivement. Le nombre de commerçants va aller en se décuplant jusqu'en 1982 où un nouvel incendie ravage ce marché. Quelques mois auparavant, une enquête a répertorié officieusement les marchands, commerçants et artisans de la Joutia, selon la taille des espaces, l'activité et un ensemble d'autres indicateurs. Une cartographie globale est ainsi construite avec pour idée initiale de préparer un déménagement au souk de Hay Hassani. Le hic : il n'y a pas assez d'espace pour contenir cette population. On se rabat alors sur Derb Ghallef : le terrain actuel de la Joutia appartient à plus d'une cinquantaine d'héritiers dont la plupart vivent à l'étranger et se manifestent peu. Une solution illégale, mais les autorités de l'époque passent outre : “Le terrain était vide, il y avait seulement des figues et des plantes sauvages, parfois des agressions et des vols. Les responsables à la préfecture nous ont alors rassemblés pour nous donner des autorisations d'installation provisoire pour 8 ou dix ans”, se souvient ce sexagénaire, vendeur de meubles. Vingt-cinq ans plus tard, la Joutia est toujours sur ce même terrain. (…)Depuis, Derb Ghallef a beaucoup évolué. La Joutia d'avant 1982 et celle d'aujourd'hui ont des configurations différentes. Dans la première, il y avait quelque 700 locaux, aujourd'hui il y a 1387 personnes réparties entre la Joutia elle-même (938 commerces), le marché Salam, dit de Selk car entouré de barbelés (449) et les Ferrachas (128) qui étalent régulièrement leurs marchandises, bien connus par la commune. Sans oublier ceux qui gravitent autour de la Joutia en attendant un changement de statut. (…)La débrouillardise fait la notoriétéMarché de la débrouillardise par excellence, l'auto-emploi à Derb Ghallef peut se présenter sous des formes d'associations aussi diverses que complexes. Elles ne se basent pas uniquement sur un apport de capital, mais tiennent aussi compte de qualifications complémentaires. Dans les commerces d'informatique ou de téléphones portables, un réparateur peut ainsi s'associer à un commerçant moyennant un pourcentage sur les opérations réalisées. Dans d'autres cas, un associé/assistant peut avoir sa propre marchandise déposée dans le local du propriétaire, auquel il verse une commission sur les ventes. Pour la grille des salaires, le montant de la rémunération des gérants de magasin de téléphones portables peut atteindre 6000 DH. Les moins bien lotis de Derb Ghallef sont payés à la semaine. Des avantages en nature ou des primes sont parfois accordés : repas ou frais de transport. Dans l'alimentaire par exemple, le montant de la rémunération est de 1200 DH par mois, plus 10 DH chaque jour pour les repas. (…)Pourtant, les commerces de Derb Ghallef se caractérisent par la faiblesse du nombre d'emplois : les effectifs ne dépassent pas cinq personnes et la main d'œuvre familiale est prédominante. Selon le recensement réalisé par le Haut commissariat au plan, le nombre moyen d'emplois est de 2,3 personnes par unité. Les activités qui concentrent le plus de main d'œuvre sont la friperie (12%), la vente et la réparation d'appareils électroniques (10%), l'ameublement (10%) et les vêtements (9%). (…)Derb Ghallef s'est fait une réputation à part, par rapport aux autres souks. Certains marchands n'hésitent pas à le comparer aux grandes surfaces structurées. “Dans la Joutia, on trouve des produits de marque avec plus d'“options” et pour 50% moins cher par rapport à Marjane”, se vante ce vendeur de paraboles. Les avantages commerciaux que procure sa localisation font l'unanimité chez les commerçants. Mais son principal atout réside dans l'existence d'un espace d'informalité où les prix demeurent inférieurs à ceux pratiqués dans le circuit structuré. Cet argument est avancé par la grande majorité des opérateurs (électronique, informatique, prêt-à-porter de luxe) qui affirment que les prix sont de 15% inférieurs à ceux pratiqués dans le secteur formel. C'est aussi le cas dans l'alimentaire, où les prix des produits importés par les réseaux non officiels sont plus compétitifs que les produits locaux. (…)D'où viennent tous ces produits ?Les réseaux d'approvisionnement de Derb Ghallef sont multiples. Les commerces d'appareils électroniques, informatiques, d'alimentaire et de pneumatiques cumulent à la fois des réseaux formels et informels. Les marchandises proviennent de grandes entreprises structurées, ou encore de grossistes de Garage Allal ou Derb Omar qui font leurs emplettes chez les importateurs de Chine et d'Europe. L'approvisionnement s'appuie aussi sur des réseaux de migrants. Parfois, ce sont même des fournisseurs individuels : “Les émigrés d'Allemagne, des Pays-Bas et de Belgique apportent beaucoup de PC, téléphones, PlayStation… Nous les connaissons, alors on fixe rendez-vous, on négocie et on conclut le marché”, raconte ce commerçant en informatique. (…)Les tenanciers sont néanmoins confrontés à des difficultés d'approvisionnement qui varient selon l'activité. Certains grossistes déclarent subir les contrôles douaniers, “allant jusqu'à perdre dans certains cas leur marchandise”. Pour faire face à ces entraves, certains contournent la réglementation. À titre d'exemple, les importateurs de vêtements enlèvent les étiquettes ou changent le nom des marques pour éviter le paiement des taxes. Pour faire face aux ruptures de stock et fidéliser la clientèle, les commerçants empruntent le produit chez leurs collègues, moyennant une partie de la marge bénéficiaire. Et face à l'insuffisance de liquidités, le crédit fournisseur fonctionne au maximum. (…)Les “facilités fournisseur-client” (talq) constituent une pratique très courante pour la quasi-totalité des activités de la Joutia. Le crédit est même accordé par des usines structurées qui entretiennent des relations avec certains commerces, comme le matériel informatique. Adapté au caractère instable des activités, souple au niveau des délais de remboursement, facile d'accès, le talq est largement sollicité par les commerçants. Il constitue une alternative à l'absence de recours au crédit bancaire. Mais ce système n'aurait guère été possible sans la force des relations personnelles, les critères de confiance et de moralité des bénéficiaires, dans une économie de proximité. (…)Une machine à cashLe revenu des locataires de Derb Ghallef est un sujet sensible, surtout chez ceux qui opèrent dans les produits de contrebande. Il est difficile d'estimer correctement ce revenu en l'absence d'une comptabilité et les confusions entre caisse de l'entreprise et celle de la famille. Interrogé sur leurs revenus journaliers, les commerçants répondent en chœur : “C'est une question de 'arzaq'”. Néanmoins, la fourchette varie globalement entre 200 et 500 DH par jour… “Et des fois, rien”, le jure ce fripier. Pour les vendeurs de produits alimentaires, la marge se situe entre 200 et 300 DH par jour. Pour les vendeurs de chaussures, on estime le revenu mensuel à 5000 DH en période de forte activité. (…)Côté clientèle, les catégories sociales sont hétérogènes : la clientèle aisée et moyenne (pour le prêt-à-porter de luxe), les professions libérales structurées (avocats, médecins pour le matériel de bureau), les étudiants, mais également les catégories à faibles revenus. La demande intègre aussi des grossistes qui opèrent à l'extérieur de la Joutia : les commerces d'appareils électroniques, de produits informatiques et de téléphones portables s'adressent à des revendeurs basés aux quatre coins du pays. La clientèle peut aussi venir du secteur formel. “Toute personne ayant une ordonnance pour avoir des lunettes peut venir ici... On lui ramène la marque qu'elle veut, même d'Allemagne. Les opticiens diplômés viennent d'ailleurs s'approvisionner chez nous”, explique un vendeur en optique. (…)Le paiement s'effectue généralement au comptant et en espèces, notamment dans les activités à faible marge bénéficiaire (friperie). Mais pour faire face à la concurrence, l'usage de facilités de paiement contre un chèque de garantie est une pratique courante dans la plupart des activités (ameublement, luminaires…) disposant d'une assise financière. Ce qui signifie qu'il existe bel et bien des relations entre les systèmes financiers formel et informel. (…)Par ailleurs, l'absence de facture, favorisée par la dominance de la clientèle privée, est généralement la règle dans les transactions. Toutefois, il y a toujours moyen de trouver une facture en cas de vente aux entreprises : elle est directement délivrée par des fournisseurs, eux-mêmes issus du secteur formel, afin de pouvoir récupérer la TVA. Cette pratique est quasi générale dans des activités comme l'électronique et l'informatique. (…)Derb Ghallef, une zone franche ?Selon le recensement du HCP, le nombre d'unités inscrites à la patente ne dépasse pas 51%. Appelé “le forfait”, cet impôt touche la majorité des locataires de la Joutia. Ceci se comprend aisément puisque son paiement est forcément lié à l'enregistrement et reste une condition de l'exercice de l'activité. Le montant de la patente, établi sur une base forfaitaire, est variable selon les activités. À titre d'exemple, les commerces de produits alimentaires s'acquittent de 1000 DH annuels de patente, le commerce de jouets de 500 DH et les commerces d'accessoires de voiture de 1200 DH. (…)L'inscription au registre de commerce touche moins d'unités que la patente, mais la plupart des activités (électronique, informatique, téléphonie, accessoires de voiture, meubles et ameublement de bureau, luminaires, vêtements de luxe, groupes électrogènes, friperie) y sont enregistrés et n'échappent pas au contrôle de l'État. Certaines de ces activités évolutives s'acquittent même de l'IGR, une réglementation rarement respectée dans la Joutia. En revanche, aucune activité ne s'acquitte de la TVA. Il en est de même des taxes locales qui, autrefois respectées, ne le sont plus par certains. “On payait 2 DH/jour puis 60 DH/mois, mais maintenant, le souk entier ne paie plus”, raconte ce fripier. (…)En observant en partie la réglementation fiscale, Derb Ghallef ne fonctionne donc pas complètement en marge de la légalité. Certains impôts sont respectés, d'autres le sont moins ou pas du tout, mais la majorité des tenanciers est connue des pouvoirs publics. Ses activités n'échappent donc pas totalement au contrôle des services étatiques.
source :TelQuel.
Les langues au Maroc
L'arabe classique
L'arabe classique est la langue du Coran. Il est employé dans les sphères religieuse, politique, administrative, juridique et culturelle. On le retrouve dans l'enseignement, les médias et toutes les activités intellectuelles. La langue arabe est une langue riche et complexe, à laquelle le livre sacré confère une dimension quasi incantatoire.
L'arabe dialectal
La langue arabe s'est implantée au Maroc par phases successives: au 7ème siècle, avec l'arrivée des troupes de Oqba Ben Nafi; au 9ème siècle, grâce aux nouveaux centres d'enseignement dont la célèbre mosquée-université Karaouiyne de Fès; aux 12e et au 13ème siècles, marqués par l`installation des tribus hilaliennes et mâaquiliennes; au 14ème siècle, par les Andalous chassés d'Espagne par la Reconquista chrétienne. L'arabe dialectal comprend quatre parlers arabes : le premier citadin ( mdini ) , qui s'inspire de l'Andalou, se concentre dans les villes anciennes comme Fès, Rabat, Salé et Tétouan; le parler montagnard ( jebli) est usité dans la région du Nord-Ouest et puise ses origines dans l'amazigh; le parler bédouin ( aroubi ) évolue dans les communautés des plaines atlantiques ( Gharb. Chaouïa, Doukkala, etc. ), et on le trouve aussi dans les plaines intérieures comme le Haouz de Marrakech, le Tadla et le Souss; enfin, le parler hassani pratiqué dans certaines régions sahariennes. L'arabe dialectal est celui que l'on parle à la maison comme dans la rue. Il ne peut être écrit, sinon sous forme de codes libres et non figés. C`est la langue maternelle des arabophones, celle à travers laquelle se forgent l`éducation et la culture populaire. Étendu sur tout le territoire marocain, il unit les différentes communautés, elles-mêmes subdivisées par la variété des dialectes. La communication avec les Arabes d`autres pays s`établit en arabe classique.
La langue amazighe :
L'amazighe est la langue la plus ancienne du Maghreb. L'arrivée des Amazighs au Maroc remonte au néolithique. Pour les historiens, leur origine demeure sujet à controverse. On pense qu'ils seraient autochtones, ou issus de la rive nord de la Méditerranée, ou encore originaires du sud de la péninsule arabique. Des documents archéologiques de l`Égypte ancienne attestent l`existence de l'écriture amazighe au moins 3000 ans av.J.-C. Aujourd`hui, on parle l`amazighe dans les régions rurales et dans les villes, notamment depuis l`exode rural des années 1970. La langue amazighe se divise en trois dialectes: le tarifit, dans le Nord-Est; le tamazight, dans le Moyen Atlas, dans la partie septentrionale du Haut Atlas et dans la région du Sud-Est; et le tachelhit, dans la partie méridionale du Haut Atlas et la région du Sud-Ouest.
Pour plus de renseignements, consultez le site de l'Institut Royal de la Culture Amazighe : www.ircam.ma/indexfr.asp
Le français
En 1912, sous le protectorat, le français est proclamé langue officielle des institutions coloniales. Aujourd'hui encore, la langue française reste très répandue au Maroc, notamment dans les secteurs de l'administration et de l'éducation. C'est aussi la langue que les hommes politiques utilisent à l`étranger, sauf dans les pays arabes où les échanges se font en arabe classique. Les écoles publiques intègrent à leur programme des cours de français. Les services et activités à caractère ludique ( cinémas,... ) ou culturel ( musées,... ) font autant appel à l'arabe classique qu'au français. Il en est de même pour les médias, dont les journaux télévisés et radiophoniques se déroulent en deux volets.
L'espagnol
Les premiers Espagnols, des Andalous; arrivent au Maroc au 15ème siècle. En 1885, des colons s`installent dans les provinces du Sud, puis en 1912 dans les provinces du Nord. La reprise d'Ifni et des provinces sahariennes, lors de l'Indépendance du Maroc, a entraîné la fin de la prédominance de la langue espagnole, qui est plus pratiquée dans les régions du nord du pays et dans le Sahara
Source www.maroc.ma
maroc langue/langue des maroc/amaeigh langue/music amazigh/amazigh music/chanteure amazigh/maroc amazigh/langue du maroc
L'arabe classique est la langue du Coran. Il est employé dans les sphères religieuse, politique, administrative, juridique et culturelle. On le retrouve dans l'enseignement, les médias et toutes les activités intellectuelles. La langue arabe est une langue riche et complexe, à laquelle le livre sacré confère une dimension quasi incantatoire.
L'arabe dialectal
La langue arabe s'est implantée au Maroc par phases successives: au 7ème siècle, avec l'arrivée des troupes de Oqba Ben Nafi; au 9ème siècle, grâce aux nouveaux centres d'enseignement dont la célèbre mosquée-université Karaouiyne de Fès; aux 12e et au 13ème siècles, marqués par l`installation des tribus hilaliennes et mâaquiliennes; au 14ème siècle, par les Andalous chassés d'Espagne par la Reconquista chrétienne. L'arabe dialectal comprend quatre parlers arabes : le premier citadin ( mdini ) , qui s'inspire de l'Andalou, se concentre dans les villes anciennes comme Fès, Rabat, Salé et Tétouan; le parler montagnard ( jebli) est usité dans la région du Nord-Ouest et puise ses origines dans l'amazigh; le parler bédouin ( aroubi ) évolue dans les communautés des plaines atlantiques ( Gharb. Chaouïa, Doukkala, etc. ), et on le trouve aussi dans les plaines intérieures comme le Haouz de Marrakech, le Tadla et le Souss; enfin, le parler hassani pratiqué dans certaines régions sahariennes. L'arabe dialectal est celui que l'on parle à la maison comme dans la rue. Il ne peut être écrit, sinon sous forme de codes libres et non figés. C`est la langue maternelle des arabophones, celle à travers laquelle se forgent l`éducation et la culture populaire. Étendu sur tout le territoire marocain, il unit les différentes communautés, elles-mêmes subdivisées par la variété des dialectes. La communication avec les Arabes d`autres pays s`établit en arabe classique.
La langue amazighe :
L'amazighe est la langue la plus ancienne du Maghreb. L'arrivée des Amazighs au Maroc remonte au néolithique. Pour les historiens, leur origine demeure sujet à controverse. On pense qu'ils seraient autochtones, ou issus de la rive nord de la Méditerranée, ou encore originaires du sud de la péninsule arabique. Des documents archéologiques de l`Égypte ancienne attestent l`existence de l'écriture amazighe au moins 3000 ans av.J.-C. Aujourd`hui, on parle l`amazighe dans les régions rurales et dans les villes, notamment depuis l`exode rural des années 1970. La langue amazighe se divise en trois dialectes: le tarifit, dans le Nord-Est; le tamazight, dans le Moyen Atlas, dans la partie septentrionale du Haut Atlas et dans la région du Sud-Est; et le tachelhit, dans la partie méridionale du Haut Atlas et la région du Sud-Ouest.
Pour plus de renseignements, consultez le site de l'Institut Royal de la Culture Amazighe : www.ircam.ma/indexfr.asp
Le français
En 1912, sous le protectorat, le français est proclamé langue officielle des institutions coloniales. Aujourd'hui encore, la langue française reste très répandue au Maroc, notamment dans les secteurs de l'administration et de l'éducation. C'est aussi la langue que les hommes politiques utilisent à l`étranger, sauf dans les pays arabes où les échanges se font en arabe classique. Les écoles publiques intègrent à leur programme des cours de français. Les services et activités à caractère ludique ( cinémas,... ) ou culturel ( musées,... ) font autant appel à l'arabe classique qu'au français. Il en est de même pour les médias, dont les journaux télévisés et radiophoniques se déroulent en deux volets.
L'espagnol
Les premiers Espagnols, des Andalous; arrivent au Maroc au 15ème siècle. En 1885, des colons s`installent dans les provinces du Sud, puis en 1912 dans les provinces du Nord. La reprise d'Ifni et des provinces sahariennes, lors de l'Indépendance du Maroc, a entraîné la fin de la prédominance de la langue espagnole, qui est plus pratiquée dans les régions du nord du pays et dans le Sahara
Source www.maroc.ma
maroc langue/langue des maroc/amaeigh langue/music amazigh/amazigh music/chanteure amazigh/maroc amazigh/langue du maroc
Microsoft publie une version test d'Internet Explorer 8
LAS VEGAS (Reuters) - Microsoft a publié mercredi une version test d'Internet Explorer 8, la dernière version de son célèbre navigateur internet.
La présentation de la huitième mouture d'Explorer, lors de la conférence MIX08 organisée par Microsoft, a été largement orientée en direction des développeurs internet mais certaines fonctions grand public ont également été dévoilées.
L'une d'entre elles permet aux utilisateurs de sauvegarder sur l'ordinateur sur lequel ils sont connectés un travail réalisé sur un site web pour éviter toute perte de données en cas de déconnexion fortuite.
Une autre fonction permet de surligner une adresse sur un site web et de localiser cette adresse sur une carte d'un simple clic. La même fonction existe également pour un produit, dont on peut vérifier la disponibilité sur eBay.
Microsoft a annoncé cette semaine qu'Explorer reprendrait par défaut les standards de visualisation de sites internet les plus communs, ce qui évitera désormais aux développeurs d'avoir à exécuter plusieurs versions d'un même site.
Explorer est le navigateur internet le plus utilisé au monde, devant Safari d'Apple et Firefox de Mozilla. La version 7 avait été publiée en octobre 2006.
Il est au centre d'une âpre bataille entre Microsoft et son rival Google. Ce dernier distribue en effet le navigateur concurrent Firefox de manière préférentielle pour un certain nombre de ses produits et est à l'origine de 85% des revenus de la fondation Mozilla, qui contrôle Firefox.
Microsoft a mis à disposition des développeurs son nouveau navigateur à l'adresse http://www.microsoft.com/ie/ie8.
La firme de Redmond a également annoncé lors de cette conférence la publication d'une version test de Silverlight 2, sa technologie de contenus multimédias sur internet destinée à concurrencer Adobe Systems.
Daisuke Wakabayashi et Eric Auchard à San Francisco, version française Julien Toyer
La présentation de la huitième mouture d'Explorer, lors de la conférence MIX08 organisée par Microsoft, a été largement orientée en direction des développeurs internet mais certaines fonctions grand public ont également été dévoilées.
L'une d'entre elles permet aux utilisateurs de sauvegarder sur l'ordinateur sur lequel ils sont connectés un travail réalisé sur un site web pour éviter toute perte de données en cas de déconnexion fortuite.
Une autre fonction permet de surligner une adresse sur un site web et de localiser cette adresse sur une carte d'un simple clic. La même fonction existe également pour un produit, dont on peut vérifier la disponibilité sur eBay.
Microsoft a annoncé cette semaine qu'Explorer reprendrait par défaut les standards de visualisation de sites internet les plus communs, ce qui évitera désormais aux développeurs d'avoir à exécuter plusieurs versions d'un même site.
Explorer est le navigateur internet le plus utilisé au monde, devant Safari d'Apple et Firefox de Mozilla. La version 7 avait été publiée en octobre 2006.
Il est au centre d'une âpre bataille entre Microsoft et son rival Google. Ce dernier distribue en effet le navigateur concurrent Firefox de manière préférentielle pour un certain nombre de ses produits et est à l'origine de 85% des revenus de la fondation Mozilla, qui contrôle Firefox.
Microsoft a mis à disposition des développeurs son nouveau navigateur à l'adresse http://www.microsoft.com/ie/ie8.
La firme de Redmond a également annoncé lors de cette conférence la publication d'une version test de Silverlight 2, sa technologie de contenus multimédias sur internet destinée à concurrencer Adobe Systems.
Daisuke Wakabayashi et Eric Auchard à San Francisco, version française Julien Toyer
source :http://www.lepoint.fr
microsoft/nouveau technologie de microsoft/nouveau version internet explorer/internet explorer 8/huitième mouture d'Explorer
Le nouveau sélectionneur connu prochainement
le nom du nouvel entraîneur de l'équipe du Maroc sera connu le lundi 10 mars. Initialement, le successeur de Henri Michel à la tête de la sélection nationale devait être annoncé mardi ou mercredi 4 et 5 mars courant.Mais la réunion du bureau a été reportée à deux reprises. Une chose est acquise pour le moment, le futur sélectionneur national sera Marocain. Cinq noms sont en course pour briguer ce poste. Il s'agit de Fathi Jamal, directeur technique national (qui assure actuellement l'intérim) , Mustapha Madih, actuel coach des FAR, Rachid Taoussi, fraîchement nommé entraîneur du MAS, Badou Zaki, ex-entraîneur national, et Aziz Amri, coach du KACM. Une chose est sûre, la tâche du prochain sélectionneur ne va pas être de tout repos. Il devra être en mesure d'asseoir son autorité et bâtir une équipe compétitive. L'enjeu est de taille, et les objectifs sont nombreux.Il s'agit avant tout de qualifier les Lions de l'Atlas à la prochaine Coupe d'Afrique des Nations prévue en Angola, mais également aux phases finales de la Coupe du monde 2010, qui se déroulera en Afrique du Sud. Pour cela, il faut compter sur le sursaut d'orgueil des Lions, mais également sur celui qui réussira à les encadrer au mieux.Depuis le limogeage du technicien français au début février, la Fédération royale marocaine de football a nommé provisoirement Fathi Jamal entraîneur de l'équipe nationale. Il occupe actuellement les postes de directeur technique national et d'entraîneur de l'équipe olympique. Il conduira le onze marocain lors de la rencontre amicale contre la Belgique prévue le 26 mars prochain à Bruxelles.Plus qu'un sélectionneur, c'est la refonte de notre football qu'il faut. La nomination d'un nouvel entraîneur ne doit pas fermer la porte à la modernisation de nos instances qui sont appelées, plus que jamais, à être plus performantes pour revaloriser notre football terni par de nombreuses désillusions. Tout le monde en convient, le choix d'un nouvel entraineur n'est la panacée, d'autant plus que les causes de l'élimination ne sont pas analysées et disséquées pour en tirer des leçons et éviter, dans le futur, de reproduire les erreurs d'un passé pas très lointain.
source :Le Matin
source :Le Matin
blessure de messi
mercredi 5 mars 2008
Demandes de visas : Le consulat d'Italie fluidifie la procédure
Demandes de visas : Le consulat d'Italie fluidifie la procédure
Création d'un centre d'assistance Plus de files interminables devant le consulat d'Italie. Ce dernier vient d'annoncer le lancement, à partir du 30 mars 2007, d'un centre d'assistance pour les visas et les légalisations (CIAO). L'objectif, selon Nicola Lener, consul général d'Italie à Casablanca, est de réduire le temps d'attente pour l'obtention du visa et de fournir aux usagers un service de qualité, en améliorant leur accueil. Tout demandeur de visa doit impérativement passer par le CIAO, qui est chargé de recevoir les demandes à la fois de visa et de légalisation. Selon M. Lener, le centre doit fournir une assistance aux usagers visant à s'assurer que la liste des documents constitutifs du dossier est complète. En parallèle, il encaissera pour le compte du consulat les perceptions consulaires et se chargera de lui transmettre les dossiers. Il est également chargé de fixer directement les rendez-vous pour le retrait des passeports auprès du consulat pour les demandeurs de visas nationaux. De même qu'il est habilité à donner des rendez-vous pour les entretiens pour ceux qui désirent obtenir un visa Schengen ou pour le retrait des documents légalisés. Ce n'est pas tout. Le centre met aussi à la disposition des demandeurs de visa un site web (www.vfs-it-ma.com) à travers lequel les usagers pourront recevoir des informations d'ordre général sur les conditions à remplir pour les visas et sur les procédures de gestion des dossiers. Les cinq guichets du centre seront ouverts du lundi au vendredi de 9 à 13h et de 14 à 17h. Et pour quel prix ? Le coût du service de ce centre est de 155 DH hors taxe pour les dossiers de visa Schengen et de 220 DH HT pour le traitement des visas nationaux
Création d'un centre d'assistance Plus de files interminables devant le consulat d'Italie. Ce dernier vient d'annoncer le lancement, à partir du 30 mars 2007, d'un centre d'assistance pour les visas et les légalisations (CIAO). L'objectif, selon Nicola Lener, consul général d'Italie à Casablanca, est de réduire le temps d'attente pour l'obtention du visa et de fournir aux usagers un service de qualité, en améliorant leur accueil. Tout demandeur de visa doit impérativement passer par le CIAO, qui est chargé de recevoir les demandes à la fois de visa et de légalisation. Selon M. Lener, le centre doit fournir une assistance aux usagers visant à s'assurer que la liste des documents constitutifs du dossier est complète. En parallèle, il encaissera pour le compte du consulat les perceptions consulaires et se chargera de lui transmettre les dossiers. Il est également chargé de fixer directement les rendez-vous pour le retrait des passeports auprès du consulat pour les demandeurs de visas nationaux. De même qu'il est habilité à donner des rendez-vous pour les entretiens pour ceux qui désirent obtenir un visa Schengen ou pour le retrait des documents légalisés. Ce n'est pas tout. Le centre met aussi à la disposition des demandeurs de visa un site web (www.vfs-it-ma.com) à travers lequel les usagers pourront recevoir des informations d'ordre général sur les conditions à remplir pour les visas et sur les procédures de gestion des dossiers. Les cinq guichets du centre seront ouverts du lundi au vendredi de 9 à 13h et de 14 à 17h. Et pour quel prix ? Le coût du service de ce centre est de 155 DH hors taxe pour les dossiers de visa Schengen et de 220 DH HT pour le traitement des visas nationaux
source: Abderrahman Ichi "LE MATIN"
ligue 1 france
Classement général - Journée 27 - Saison 2007-2008
Classement Ligue1 - Journée 27 France.
Pos Club Pts
*1 -Lyon 55
*2 -Bordeaux 52
*3-Nancy 45
*4-Marseille 42
*5-Le Mans 40
*6-Nice 39
*7-Monaco 37
*8-Lorient 37
*9-Valenciennes 36
*10-Saint Etienne 36
*11-Strasbourg 35
*12-Caen 35
*13-Auxerre 35
*14-Rennes 34
*15-Lille 32
*16-Lens 32
*17-Paris SG 31
*18-Toulouse 29
*19-Sochaux 28
*20-Metz 15
Classement Ligue1 - Journée 27 France.
Pos Club Pts
*1 -Lyon 55
*2 -Bordeaux 52
*3-Nancy 45
*4-Marseille 42
*5-Le Mans 40
*6-Nice 39
*7-Monaco 37
*8-Lorient 37
*9-Valenciennes 36
*10-Saint Etienne 36
*11-Strasbourg 35
*12-Caen 35
*13-Auxerre 35
*14-Rennes 34
*15-Lille 32
*16-Lens 32
*17-Paris SG 31
*18-Toulouse 29
*19-Sochaux 28
*20-Metz 15
Ligue des champions : Les résultats de mardi et mercredi
Huitièmes de finale retour de la Ligue des Champions.
1-Manchester United (ANG) VS Lyon (FRA) : 1-0 (0-0)But : C.Ronaldo (41eme) pour Manchester United
2-FC Barcelone (ESP) VS Celtic Glasgow (ECO) : 1-0 (3-2)But : Xavi (3eme) pour FC
3-FC Séville (ESP) VS Fenerbahçe (TUR) : 3-2 (prolongation) (2-3)Buts : D.Alves (5eme), Se.Keita (9eme) et Kanouté (41eme) pour le FC Séville - Deivid (20eme et 78eme) pour
4-AC Milan (ITA) VS Arsenal (ANG) : 0-2Buts : Fabregas (85eme) et Adebayor (92eme) pour Arsenal
Pour la quatrième saison consécutive, le Real Madrid échoue au stade des huitièmes de finale, sorti par une très belle AS Roma (1-2, comme à l'aller). Chelsea, au contraire, a très vite pris la mesure de l'Olympiakos, battu (3-0) après le résultat nul et vierge du match aller.résulta ligue des champion/calndrier ligue des champions/barca au ligue des champions/ligue des champions/programme ligue des champions
1er festival national de la femme marocaine
Casablanca organise le samedi prochaine le premier festival national de la femme. un communiqué de la fondation mhamed zerketouni indique que cette manifestation vise à mettre en relief la participation de la femme dans la lutte du mouvement nationaliste pour le recouvrement de l'indépendance du Maroc. ce festival Initiée par la Fondation Mohamed Zerktouni pour la culture et les recherches sous le thème "Rôle de la femme marocaine résistante dans l'indépendance et le développement du pays''Le programme de cette manifestation, qui ambitionne de faire connaître davantage l'histoire du mouvement nationaliste et de la résistance, sera ponctué notamment d'expositions, de conférences et de rencontres avec des figures féminines de la résistance, ainsi que de la projection de films documentaires et de la présentation de portraits de résistantes.
football au Maroc :Coupe du trône
grande surprise de Wydad Fès, l'un des clubs amateurs qui éliminant le COD Meknès (première division), lors des 16è de finale de la Coupe du Trône de football (2007-2008), dimanche à Fès. l’equpie de mekenes était favoris pour gagner le match avant le siffler de l’arbitre mai Le Wydad de fes a poinçonné son ticket des huitièmes de finale en s'imposant sur le score de 1 but à 0 devant son voisin.Deux autres équipes de GNFE-1, le FUS de Rabat et le Mouloudia d'Oujda ont été victimes de clubs de division inférieure (GNFE-2) Voici les résultats des matches des 16è de finale de la Coupe du Trône de football (2007-2008), disputés samedi et dimanche: Les équipes vainqueurs lors de ces 16e de finale, joués en une seule phase à élimination directe, sont qualifiées pour les huitièmes.
*Moghreb Fès - Ittihad Tanger 1 - 1. t.a.b 4 - 3.
*Renaissance Berkane - Moghreb Tétouan 0 - 1.
*FUS Rabat - Union Sidi Kacem 0 - 1.
*Raja Casablanca - Olympic Safi 3 - 3. t.a.b 4 - 2.
*Hassania Agadir - Amal Souk Sabt 1 - 0.
*KAC Kénitra - Ittihad Khémisset 1 - 1 t.a.b 2 - 1.
*Mouloudia Oujda - Hilal Nador 3 - 3 t.a.b 1 - 3.
*Widad Fès - CODM Meknès 1 - 0.
*AS Salé - AS Mensouria 3 - 2.*
*Jeunesse Massira - Kawkab Marrakech 1 - 1 t.a.b 3 - 4.
*Union Inzegane - Chabab Houara 0 - 3.
*Difaa El Jadida - Union Mohammedia 1 - 0.
*Union Sidi Moumen - AS OFPPT 0 - 0 t.a.b 4 - 3.
Matches reportés :.
*Union Témara - AS FAR.
*Mouloudia Laâyoune - Wydad Casablanca.
*résulta coupe du trône de football au Maroc/football au Maroc//programme coupe du trône au Maroc//Maroc coupe de trône/football et coupe de trône au MarocOlympique Khouribga - Rachad Bernoussi
mardi 4 mars 2008
Abdelkader Belliraj s'avère être un agent des services secrets belges
Le chef du réseau terroriste récemment démantelé au Maroc s’est avéré être un agent rémunéré des services de renseignement belges. L’information a été révélé par la presse belge. Abdelkader Belliraj, mis en détention depuis jeudi dernier dans la prison civile de Salé, était «un indicateur officiel rémunéré de la Sûreté belge». La révélation, pour le moins troublante, a fait l’effet boule-de-neige, dans l’édition week-end de la presse belge. «La Belgique avait-elle couvert des faits de grand banditisme pour protéger un informateur ?», s’interrogeait, vendredi, la chaîne de télévision «RTBF», dans son dernier bulletin d’information de la soirée. « Comment la Sûreté belge a-t-elle pu recruter et rémunérer un tueur d’Al-Qaïda actif en Belgique, avec du sang sur les mains, depuis 20 ans ?», se demandait, pour sa part, le quotidien «La Dernière Heure». Les services belges ignoraient-ils que leur «informateur» était à la solde de l’hydre terroriste «Al Qaïda», et qu’il avait même fait un déplacement en 2001 du côté des grottes d’Afghanistan, puis dans les maquis de la branche maghrébine d’Al Qaïda en 2005, en Algérie, où se retranche l’ancien Groupe salafiste pour le combat et la prédication (GSPC) ? Il n’y a pas lieu de s’étonner, ni de feindre une quelconque ignorance. «Il est évident que les services de renseignement belges connaissaient Abdelkader Belliraj», a affirmé le ministre de l’Intérieur, Chakib Benmoussa, dans une interview publiée dans la dernière livraison de l’hebdomadaire international «Jeune Afrique». Maintenant, si les connexions terroristes de Belliraj ne sont pas à démontrer, survient la question, du moins embarrassante, sur les raisons pour lesquelles les services belges avaient recruté «Belliraj». Ces derniers voulaient-ils «infiltrer», par le biais de ce dernier, l’Organisation du terroriste Oussama Ben Laden ? Cette raison était-elle suffisante pour que les services en question «ferment les yeux» sur le sextuple assassinat commis en Belgique, dans la deuxième moitié des années 80, par le même agent recruté, ou plus encore, sur le braquage spectaculaire, perpétré par la même personne, d’une importante institution financière au Luxembourg, Brings, avec la participation de truands européens ? Un «festival» de questions auxquels il est, aujourd’hui, difficile de hasarder un seul élément de réponse. Le ministre de la justice belge, Jo Vandeurzen, a demandé, vendredi dernier, l’ouverture d’une enquête sur «la manière dont les services de renseignement» de son pays «ont collecté et traité les informations concernant le dossier de Belliraj». Le même ministre, par voie de communiqué, avait exprimé son inquiétude quant à «l’efficacité du travail de renseignement» de son pays, qui se trouve dans une position très peu confortable depuis que les autorités marocaines ont réussi le démantèlement du réseau incriminé, annoncé le 18 février dernier. En fin de semaine, une équipe d’enquêteurs belges devait se rendre à Rabat pour, dit-on, «un échange d’informations» sur le réseau en question, dont 35 membres avait été déférés, jeudi dernier, devant le procureur général du Roi près la Cour d’appel de Rabat, avant d’être traduits, dans l’après-midi de la même journée, devant le juge antiterroriste de Salé. L’embarras des autorités belges est tel que les révélations, qui ont fait le tour des médias bruxellois, ont provoqué des questions très embarrassantes sur le rapport étrange qu’auraient entretenu les services de leur pays avec le «très dangereux» Belliraj. «Certains avaient pu s’étonner de sa propriété quatre façades avec garage et jardin, à Evrem», martèle le quotidien «La dernière Heure», qui fait, évidemment, allusion à l’enrichissement douteux de «Belliraj». Le même quotidien s’interroge, également, «pourquoi l’homme n’a jamais été inquiété par la justice belge ? ». Autant de zones d’ombre à élucider .
source :Par : M’Hamed Hamrouch www.aujourdhui.ma
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source :Par : M’Hamed Hamrouch www.aujourdhui.ma
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Une semaine décisive pour le Wydad et le Raja
Une semaine décisive pour le Wydad et le Raja Aujourd’hui, l’équipe du Wydad affrontera lors de la 5ème journée des poules en Egypte, la formation d’El Gueish. Le Raja recevra mercredi le club syrien d’Al Majd au Complexe Mohammed V.La situation est favorable pour le Wydad dans la compétition de la ligue arabe des champions. Pourvu que cela dure. Aux commandes du groupe B avec 9 points, les rouges ne comptent qu’un point leur assurant la qualification aux demi-finales. Ainsi, le Wydad, qui vient de se séparer de son entraîneur, Jean Michel Cavalli, affrontera aujourd’hui la formation égyptienne de Talaîe Al-Gueish pour la cinquième journée des poules. Seul un score neutre suffira aux hommes de Rachid Daoudi pour assurer leur présence au dernier carré d’as. En match aller au complexe Mohammed V, les Wydadis se sont imposés par le score de 3 buts à 0. De son côté, la formation égyptienne adverse n’a pu enregistrer qu’une seule victoire, depuis le coup d’envoi de la compétition, en Algérie, comptant pour le match aller face à l’USM d’Alger. Le retour s’est, quant à lui, soldé en Egypte en décembre par un score neutre. Pour cette dernière journée de la phase des poules, le Wydad part ainsi favori. Son adversaire du jour, El Gueish, occupe la dernière place du groupe avec seulement 4 points. Toutefois, très accrocheurs devant leur public qui ne manquera pas de les soutenir, les Egyptiens ne seront pas une proie facile et tenteront de l’emporter pour garder leurs chances intactes dans cette compétition arabe. Les Wydadis tâcheront sans doute de conforter leur position en tête du classement après trois succès et une seule défaite. Pour le compte de cette même journée, l’USM d’Alger, en deuxième position avec 5 points recevra Al Taliya Hama, en troisième position avec 4 points. A titre indicatif, lors du dernier match de l’équipe Wydadi face au Taliya Hama, les Rouges, coachés par Cavalli, avaient imposé leur jeu aux dépens du club syrien. Ils l’ont battu au stade Bassel de Hama par 2 buts à 0. Les buts de la rencontre ont été inscrits par le Burkinabé Sadio Sow (36è) et Abderrazak Sakim (90è+2). Dans le groupe A, le Raja de Casablanca, troisième avec 5 points, se trouvera contraint de triompher, mercredi prochain, face au club Syrien d’Al Majd. Cela, s’il entend confirmer son dernier succès devant le club algérien de l’ES Sétif (1-0) et continuer l’aventure. La rencontre se déroulera au complexe Mohammed V à Casablanca. Tout faux pas, des Verts, sous la houlette de Jean- Yves Chay équivaudra à la fin de leur parcours. Leur dernière rencontre sera très difficile sur le terrain des Jordaniens d’Al Fayçali. Le club jordanien, qui mène la danse avec 8 points, jouera, quant à lui, sur la pelouse de l’ES Sétif, qui occupe la deuxième place avec 5 points.
par : Bachir hajjaj // www.aujourdhui.ma
widad et raj au ligue arab des champions//raja de casblanca/widad de cas blanca//ligue arab des champions//resultat des ligue arab des champions//
par : Bachir hajjaj // www.aujourdhui.ma
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Une centaine de civils assassinés par l'armée israélienne
Plus qu'un holocauste » : un jour après qu'un responsable israélien eut menacé Gaza d'une « shoah », le président palestinien Mahmoud Abbas, qui a suspendu hier « toutes négociations et contacts à tous les niveaux avec Israël », n'est pas allé par quatre chemins pour qualifier les crimes de guerre actuellement commis par Tsahal contre les populations civiles de Gaza. Ni sa déclaration, ni toutes celles qui ont été faites, ne peuvent, néanmoins, refléter l'abjection que soulève partout dans le monde la lâche agression qui a, sous l'appellation « Hiver chaud », fauché la vie d'une centaine de Palestiniens depuis mercredi. Malgré l'horreur des images qui nous sont parvenues, d'aucuns continuent, cependant, à mettre sur le même pied d'égalité l'agresseur et l'agressé. Ainsi le Conseil de sécurité des Nations unies a-t-il exhorté hier dimanche l'Etat d'Israël et les activistes palestiniens à mettre un terme aux violences qui font rage dans la bande de Gaza. Ban Ki-moon, secrétaire général de l'organisation internationale, a lui aussi condamné l'usage "excessif et disproportionné" de la force de la part de Tsahal, tout en dénonçant les tirs de roquettes dans le sud d'Israël. Idem pour la France, la présidence slovène de l'UE, les Etats-Unis, etc. Seul le monde arabe a dérogé à cette règle et condamné ouvertement les crimes israéliens. Des crimes horribles, ignobles, monstrueux, … et qui tiennent du génocide puisqu'ils visent en premier lieu les femmes et les enfants.La barbarie de Tsahal ne s'est jamais exprimée avec autant de sauvagerie que durant cette opération qu'elle menace de conduire jusqu'à son terme normal; c'est-à-dire, jusqu'à l'extinction de toute forme de vie dans les territoires palestiniens. Ceci d'autant plus que ses hordes excellent dans l'art de tirer sur les enfants comme elles le feraient sur des lapins. Le cas de Mohamed El Dora dont la mort a été diffusée dans toutes les télévisions du monde en octobre 2000, est là pour nous le rappeler. Israël est actuellement en train de réserver le même sort à beaucoup d'autres enfants. Avant de leur ôter la vie, il a pris le soin, via le blocus imposé à Gaza, de tuer en eux l'innocence, les rêves, les espoirs et la joie de vivre et de rire à pleines dents. Douloureux exercice que de témoigner de cette souffrance qui perdure ou de suivre le fil de
s jours sans lendemain qui égrènent la vie dans la Bande de Gaza depuis que l'Etat hébreu a décidé de lui faire subir ses foudres vengeresses. Difficile également de supporter les images de ces multiples tragédies diffusées en boucle par certaines télévisions. Rien au monde ne peut, en effet, justifier l'acte de tuer un enfant. Bialik, poète sioniste du XIXe siècle, écrivit après le pogrom de Kichinev que «Satan lui-même ne saurait venger le sang d'un petit enfant». Or des petits enfants, l'armée israélienne ne cesse d'en tuer depuis le début de l'opération « Hiver chaud ». Pour biblique qu'elle soit, sa loi du Talion ne peut conduire que vers la sauvagerie, la barbarie et l'indicible. Bref vers une situation pire que celle que les juifs ont connue lors de l'holocauste.
source :Ahmed Saâïdi-----http://www.liberation.press.ma
s jours sans lendemain qui égrènent la vie dans la Bande de Gaza depuis que l'Etat hébreu a décidé de lui faire subir ses foudres vengeresses. Difficile également de supporter les images de ces multiples tragédies diffusées en boucle par certaines télévisions. Rien au monde ne peut, en effet, justifier l'acte de tuer un enfant. Bialik, poète sioniste du XIXe siècle, écrivit après le pogrom de Kichinev que «Satan lui-même ne saurait venger le sang d'un petit enfant». Or des petits enfants, l'armée israélienne ne cesse d'en tuer depuis le début de l'opération « Hiver chaud ». Pour biblique qu'elle soit, sa loi du Talion ne peut conduire que vers la sauvagerie, la barbarie et l'indicible. Bref vers une situation pire que celle que les juifs ont connue lors de l'holocauste.
source :Ahmed Saâïdi-----http://www.liberation.press.ma
lundi 3 mars 2008
YouTube et Dailymotion
on l'attendait depuis son lancement : l'amélioration de la qualité des vidéos sur les sites de partage tels que YouTube ou Dailymotion arrive progressivement. Précédé par le site français, qui annonçait le 19 février la mise en place d'une section de contenus "HD", l'américain YouTube, le service vidéo de Googl propose depuis dimanche 2 mars un nouveau procédé d'amélioration de la qualité de ses vidéos.
Grâce à des formats de compression améliorés, et moyennant l'ajout d'un simple code "&fmt=6" en fin de l'adresse (URL), tout utilisateur a accès aux vidéos dans une résolution supérieure (448 x 336 pixels au lieu de 320 x 240 pixels) et dans une meilleure qualité sonore (44,100 kHz au lieu de 22,050 kHz). Contrepartie de ce nouveau procédé d'encodage, le poids des fichiers est plus lourd et leur chargement deux fois plus long en moyenne.
Un autre format qui se rapproche plus de la haute résolution (480 x 360 pixels) est également testé chez YouTube, mettant en œuvre le "codec" (codeur-décodeur) MP4 (vidéo au format H264 et son au format AAC). Pour y accéder, même procédé : il suffit d'ajouter en fin d'adresse de chaque vidéo le code "&fmt=18".
DES CONTENUS WEB POUR LA TÉLÉVISION VIA L'ADSL
Contrairement à YouTube qui a déployé ces deux technologies sur l'ensemble de son site, la section "HD" de Dailymotion ne concerne qu'une faible partie de la base des vidéos hébergées. D'autres pistes sont explorées : un partenariat pour la diffusion sur Neuf Box vient d'être signé et mis en œuvre, permettant à tous les abonnés haut débit de Neuf TV HD de bénéficier d'une sélection de contenus provenant de Dailymotion sur le canal 100, à l'image de la section "TV Perso" disponible sur le canal 99 de la Freebox depuis plusieurs mois.
Dans le même esprit de convergence, l'accord de portage de la majorité des contenus et services multimédias de Google – dont les contenus issus de son site de vidéos Youtube – sur une gamme de différents appareils électroniques Panasonic (téléviseurs HD Viera Cast pour commencer) marquera au printemps prochain les débuts de l'intégration de services en ligne directement dans des produits d'électronique grand public. Enfin et pour contrer le service Yahoo! Live qui permet la diffusion de vidéos en direct, YouTube prévoit pour le courant de l'année un service similaire de diffusion en "live", sans toutefois donner de date pour son lancement.
Se posera alors le crucial problème de la bande passante, puisque chaque mois, Youtube "croque" à lui seul 27 pétaoctets (27 millions de gigaoctets), l'équivalent du trafic total du réseau Internet pour l'an 2000.
source : http://www.lemonde.fr
Grâce à des formats de compression améliorés, et moyennant l'ajout d'un simple code "&fmt=6" en fin de l'adresse (URL), tout utilisateur a accès aux vidéos dans une résolution supérieure (448 x 336 pixels au lieu de 320 x 240 pixels) et dans une meilleure qualité sonore (44,100 kHz au lieu de 22,050 kHz). Contrepartie de ce nouveau procédé d'encodage, le poids des fichiers est plus lourd et leur chargement deux fois plus long en moyenne.
Un autre format qui se rapproche plus de la haute résolution (480 x 360 pixels) est également testé chez YouTube, mettant en œuvre le "codec" (codeur-décodeur) MP4 (vidéo au format H264 et son au format AAC). Pour y accéder, même procédé : il suffit d'ajouter en fin d'adresse de chaque vidéo le code "&fmt=18".
DES CONTENUS WEB POUR LA TÉLÉVISION VIA L'ADSL
Contrairement à YouTube qui a déployé ces deux technologies sur l'ensemble de son site, la section "HD" de Dailymotion ne concerne qu'une faible partie de la base des vidéos hébergées. D'autres pistes sont explorées : un partenariat pour la diffusion sur Neuf Box vient d'être signé et mis en œuvre, permettant à tous les abonnés haut débit de Neuf TV HD de bénéficier d'une sélection de contenus provenant de Dailymotion sur le canal 100, à l'image de la section "TV Perso" disponible sur le canal 99 de la Freebox depuis plusieurs mois.
Dans le même esprit de convergence, l'accord de portage de la majorité des contenus et services multimédias de Google – dont les contenus issus de son site de vidéos Youtube – sur une gamme de différents appareils électroniques Panasonic (téléviseurs HD Viera Cast pour commencer) marquera au printemps prochain les débuts de l'intégration de services en ligne directement dans des produits d'électronique grand public. Enfin et pour contrer le service Yahoo! Live qui permet la diffusion de vidéos en direct, YouTube prévoit pour le courant de l'année un service similaire de diffusion en "live", sans toutefois donner de date pour son lancement.
Se posera alors le crucial problème de la bande passante, puisque chaque mois, Youtube "croque" à lui seul 27 pétaoctets (27 millions de gigaoctets), l'équivalent du trafic total du réseau Internet pour l'an 2000.
source : http://www.lemonde.fr
Ligue des Champions Africaine,
1-L’Olympique de Khouribga s’est qualifié pour le prochain tour en battant l’équipe du Sporting Benfica de Guinée Bissau sur le score de (2-0) le même score du match aller. L’OCK affrontera au prochain tour l’équipe Algérienne de l’Entente de Sétif à la fin de ce mois
2-L’équipe des FAR a été éliminée au tour préliminaire en s’inclinant aux tirs aux buts (4-5) devant Sporting Clube da Praia du Cap Vert, samedi à Praia. Le club capverdien, battu à Rabat (aller) sur le score de 3 buts à 0, est parvenu à égaliser dans le temps réglementaire grâce à un doublé de Jwaw Tegana 11e, 85e et un but de Lovandeur Mandouza à la 30e minute.
2-L’équipe des FAR a été éliminée au tour préliminaire en s’inclinant aux tirs aux buts (4-5) devant Sporting Clube da Praia du Cap Vert, samedi à Praia. Le club capverdien, battu à Rabat (aller) sur le score de 3 buts à 0, est parvenu à égaliser dans le temps réglementaire grâce à un doublé de Jwaw Tegana 11e, 85e et un but de Lovandeur Mandouza à la 30e minute.
Gaza: Israël est "toujours au coeur de la bataille", affirme Ehud Olmert
JERUSALEM (AFP) - Le Premier ministre israélien Ehud Olmert a affirmé lundi que l'armée allait continuer ses opérations contre le Hamas dans la bande de Gaza après la fin d'une offensive meurtrière de deux jours.
"Nous sommes toujours au coeur de la bataille et il ne s'agit pas d'une frappe ponctuelle", a déclaré M. Olmert devant la commission des Affaires étrangères et de la Défense du parlement. Le Premier ministre a ajouté: "Ce qui s'est passé ces derniers jours, n'est pas un incident isolé." "Tout est possible", a-t-il souligné évoquant d'éventuels "raids aériens, incursions terrestres, et opérations de commandos". "Le Hamas doit encore s'attendre à subir ce que nous allons faire et avec quelle ampleur", a insisté le Premier ministre. Il a réaffirmé que l'objectif des opérations israéliennes était : "Une réduction radicale des tirs de roquettes (contre Israël), un affaiblissement du régime du Hamas au point qu'il sera incapable de contrôler la bande de Gaza". Selon M. Olmert, un tel résultat ne pourra être atteint que par une campagne "systématique mettant en oeuvre une gamme élargie de moyens" sur le terrain. Par ailleurs, il s'est prononcé pour une reprise des négociations avec l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas, estimant que faute d'une perspective de paix "il n'y aura pas moyen d'empêcher que la Cisjordanie se transforme en un nouveau Gaza". Les blindés israéliens avaient totalement lundi matin évacué le camp de réfugiés de Jabaliya où une trentaine de maisons ont été détruites, a constaté un correspondant de l'AFP. Les chars se sont redéployés au voisinage immédiat de la frontière avec Israël ou du côté israélien. Un porte-parole militaire israélien a indiqué pour sa part à l'AFP que l'opération baptisée "Hiver chaud", menée à Gaza depuis samedi, touchait à sa fin lundi. Pour stopper ou du moins réduire les tirs de roquettes sur le sud d'Israël, l'armée israélienne avait poursuivi dimanche et dans la nuit une offensive meurtrière lancée la veille qui s'est soldée par la mort de plus de 70 Palestiniens, dont des femmes et des enfants, alors que 2 soldats étaient tués. Si l'on compte les morts depuis mercredi, où un Israélien a été tué par une roquette, plus d'une centaine de Palestiniens ont été tués. En termes diplomatiques, l'opération s'est soldée par des critiques dans le monde contre Israël pour un usage jugé disproportionné de la force et de lourdes pertes dans la population civile de Gaza, même si les tirs de roquettes palestiniennes ont également été condamnés. Surtout, elle s'est soldée par une suspension par l'Autorité palestinienne de tout contact et négociations de paix avec Israel, à quelques jours d'une nouvelle tournée dans la région de la secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice destinée à relancer le processus initié à Annapolis en novembre. Malgré l'ampleur de l'offensive israélienne, la plus meurtrière depuis 2000, 24 roquettes se sont abattues dimanche sur le sud d'Israël. La police a fait état d'un blessé, et indiqué qu'en soirée un autre engin avait frappé une maison à Ashkelon, dans le sud d'Israel. Le mouvement islamiste Hamas, qui contrôle la bande de Gaza, a annoncé la mort de 37 de ses combattants dans l'offensive, et celle d'une dizaine d'autres activistes. Deux soldats israéliens y ont été tués samedi, et deux autres blessés dimanche.
Source : AFP
"Nous sommes toujours au coeur de la bataille et il ne s'agit pas d'une frappe ponctuelle", a déclaré M. Olmert devant la commission des Affaires étrangères et de la Défense du parlement. Le Premier ministre a ajouté: "Ce qui s'est passé ces derniers jours, n'est pas un incident isolé." "Tout est possible", a-t-il souligné évoquant d'éventuels "raids aériens, incursions terrestres, et opérations de commandos". "Le Hamas doit encore s'attendre à subir ce que nous allons faire et avec quelle ampleur", a insisté le Premier ministre. Il a réaffirmé que l'objectif des opérations israéliennes était : "Une réduction radicale des tirs de roquettes (contre Israël), un affaiblissement du régime du Hamas au point qu'il sera incapable de contrôler la bande de Gaza". Selon M. Olmert, un tel résultat ne pourra être atteint que par une campagne "systématique mettant en oeuvre une gamme élargie de moyens" sur le terrain. Par ailleurs, il s'est prononcé pour une reprise des négociations avec l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas, estimant que faute d'une perspective de paix "il n'y aura pas moyen d'empêcher que la Cisjordanie se transforme en un nouveau Gaza". Les blindés israéliens avaient totalement lundi matin évacué le camp de réfugiés de Jabaliya où une trentaine de maisons ont été détruites, a constaté un correspondant de l'AFP. Les chars se sont redéployés au voisinage immédiat de la frontière avec Israël ou du côté israélien. Un porte-parole militaire israélien a indiqué pour sa part à l'AFP que l'opération baptisée "Hiver chaud", menée à Gaza depuis samedi, touchait à sa fin lundi. Pour stopper ou du moins réduire les tirs de roquettes sur le sud d'Israël, l'armée israélienne avait poursuivi dimanche et dans la nuit une offensive meurtrière lancée la veille qui s'est soldée par la mort de plus de 70 Palestiniens, dont des femmes et des enfants, alors que 2 soldats étaient tués. Si l'on compte les morts depuis mercredi, où un Israélien a été tué par une roquette, plus d'une centaine de Palestiniens ont été tués. En termes diplomatiques, l'opération s'est soldée par des critiques dans le monde contre Israël pour un usage jugé disproportionné de la force et de lourdes pertes dans la population civile de Gaza, même si les tirs de roquettes palestiniennes ont également été condamnés. Surtout, elle s'est soldée par une suspension par l'Autorité palestinienne de tout contact et négociations de paix avec Israel, à quelques jours d'une nouvelle tournée dans la région de la secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice destinée à relancer le processus initié à Annapolis en novembre. Malgré l'ampleur de l'offensive israélienne, la plus meurtrière depuis 2000, 24 roquettes se sont abattues dimanche sur le sud d'Israël. La police a fait état d'un blessé, et indiqué qu'en soirée un autre engin avait frappé une maison à Ashkelon, dans le sud d'Israel. Le mouvement islamiste Hamas, qui contrôle la bande de Gaza, a annoncé la mort de 37 de ses combattants dans l'offensive, et celle d'une dizaine d'autres activistes. Deux soldats israéliens y ont été tués samedi, et deux autres blessés dimanche.
Source : AFP
Baddou zaki l’entraîneur le plus favori
Baddou Zaki est favori au poste d’entraîneur de l’équipe nationale, poste qu’il avait occupé pendant quasiment trois années et où il avait réussi à qualifier l’équipe nationale à la finale de la CAN 2004.
ZakiTrès prochainement, la Fédération royale marocaine de football (FRMF) dévoilera le nom du futur sélectionneur national qui, dit-on serait marocain ; alors qu’on pensait qu’aucun entraîneur marocain n’est officiellement candidat pour coatcher les Lions de l’Atlas. A ce jour, la direction technique nationale est assurée par l’entraîneur Fathi Jamal, une mission qui lui a été dévolue en 2006 par le Bureau fédéral, et qui s’ajoute à sa qualité d’entraîneur de l’équipe olympique. Six figures nationales, grâce à leur palmarès prestigieux, pourraient fort probablement occuper ce poste.Il s’agit de Baddou Zaki, grand favori et sollicité par un grand nombre de supporters nationaux, Fathi Jamal, l’entraîneur national intérimaire, Mustapha Madih, à la tête des FAR, Mhamed Fakhir (MAT), Rachid Taoussi (MAS) et Aziz Elamri ( KACM). Contacté par ALM, Lahcen Dakine, secrétaire général de la FRMF a déclaré que «le Bureau fédéral n’a pas encore statué sur le coach du onze national. On ne sait s‘il est national ou pas, mais il y’a de fortes chances qu’il soit marocain». Et d’ajouter : «les candidatures étrangères que la FRMF a reçues ne correspondent pas au profil demandé». L’enquête lancée par la FRMF à la recherche du sélectionneur apte intervient suite au limogeage d’Henri Michel. Le Bureau fédéral avait mis un terme à son contrat en raison du manque de résultat et de son comportement extra-sportif manifesté lors d’une conférence de presse qu’il a tenue après le retour de la sélection du Ghana. Parmi les entraîneurs de renom, qui se sont porté candidats, l’on notera Roger Lemerre qui a remporté la CAN 2004 avec la Tunisie et l’Euro 2000 avec la France. On notera également André Santini, ancien coach de l’équipe de France, Claude Puel actuel entraîneur de Lille ou bien Arthur Jorges qui avait entraîné le Paris Saint Germain et Porto. Dans l’attente de la désignation du nouvel entraîneur, la FRMF a décidé de s’accorder «un court délai de réflexion». Cette décision a été prise à la suite d’une réunion tenue mardi dernier entre le Bureau fédéral et les représentants de l’Amicale nationale des entraîneurs du Maroc à Rabat, dans le cadre des concertations relatives à la désignation du sélectionneur national et son staff. «Après un large échange de points de vue, il a été convenu de s’accorder un court délai de réflexion pour l’examen de proposition consensuelles retenues» indique un communiqué de la FRMF.La même source précise que le Bureau fédéral «annoncera incessamment» les résultats de ces consultations. Le prochain match de l’équipe nationale sera amical face à la Belgique en mars prochain. Quant aux matches qualificatifs pour la Coupe du monde prévue en Afrique du Sud du 11 juin au 11 juillet, l’équipe du Maroc évoluant dans le groupe 8, zone Afrique, affrontera respectivement l’Ethiopie, le Rwanda et la Mauritanie en mai.
ZakiTrès prochainement, la Fédération royale marocaine de football (FRMF) dévoilera le nom du futur sélectionneur national qui, dit-on serait marocain ; alors qu’on pensait qu’aucun entraîneur marocain n’est officiellement candidat pour coatcher les Lions de l’Atlas. A ce jour, la direction technique nationale est assurée par l’entraîneur Fathi Jamal, une mission qui lui a été dévolue en 2006 par le Bureau fédéral, et qui s’ajoute à sa qualité d’entraîneur de l’équipe olympique. Six figures nationales, grâce à leur palmarès prestigieux, pourraient fort probablement occuper ce poste.Il s’agit de Baddou Zaki, grand favori et sollicité par un grand nombre de supporters nationaux, Fathi Jamal, l’entraîneur national intérimaire, Mustapha Madih, à la tête des FAR, Mhamed Fakhir (MAT), Rachid Taoussi (MAS) et Aziz Elamri ( KACM). Contacté par ALM, Lahcen Dakine, secrétaire général de la FRMF a déclaré que «le Bureau fédéral n’a pas encore statué sur le coach du onze national. On ne sait s‘il est national ou pas, mais il y’a de fortes chances qu’il soit marocain». Et d’ajouter : «les candidatures étrangères que la FRMF a reçues ne correspondent pas au profil demandé». L’enquête lancée par la FRMF à la recherche du sélectionneur apte intervient suite au limogeage d’Henri Michel. Le Bureau fédéral avait mis un terme à son contrat en raison du manque de résultat et de son comportement extra-sportif manifesté lors d’une conférence de presse qu’il a tenue après le retour de la sélection du Ghana. Parmi les entraîneurs de renom, qui se sont porté candidats, l’on notera Roger Lemerre qui a remporté la CAN 2004 avec la Tunisie et l’Euro 2000 avec la France. On notera également André Santini, ancien coach de l’équipe de France, Claude Puel actuel entraîneur de Lille ou bien Arthur Jorges qui avait entraîné le Paris Saint Germain et Porto. Dans l’attente de la désignation du nouvel entraîneur, la FRMF a décidé de s’accorder «un court délai de réflexion». Cette décision a été prise à la suite d’une réunion tenue mardi dernier entre le Bureau fédéral et les représentants de l’Amicale nationale des entraîneurs du Maroc à Rabat, dans le cadre des concertations relatives à la désignation du sélectionneur national et son staff. «Après un large échange de points de vue, il a été convenu de s’accorder un court délai de réflexion pour l’examen de proposition consensuelles retenues» indique un communiqué de la FRMF.La même source précise que le Bureau fédéral «annoncera incessamment» les résultats de ces consultations. Le prochain match de l’équipe nationale sera amical face à la Belgique en mars prochain. Quant aux matches qualificatifs pour la Coupe du monde prévue en Afrique du Sud du 11 juin au 11 juillet, l’équipe du Maroc évoluant dans le groupe 8, zone Afrique, affrontera respectivement l’Ethiopie, le Rwanda et la Mauritanie en mai.
Source : Bachir HAJJAJ - Aujourd'hui le Maroc
La drogue au maroc
samedi 01/03/2008 : Quatre personnes arrêtées dans la région d'Ajdir, près de la ville d'Al Hoceima, en possession de 6 kg de chira, ont été déférées dimanche devant le juge d'instruction.
Les éléments de la gendarmerie Royale avaient intercepté
La gendarmerie royal avaient intercepté une voiture légère, avec à son bord quatre personnes, lors d'un contrôle de routine qui a permis la saisie de 6 kg de chira dissimulée dans le coffre de la voiture immatriculée à Al Hoceima, a indiqué une source sécuritaire.L'enquête préliminaire a révélé que les trafiquants tentaient d'acheminer la drogue vers Al Hoceima pour la revendre.
Dans une un autre cas Les services de la police judiciaire (PJ) de Salé ont arrêté, samedi soir, deux personnes qui cachaient une importante quantité de drogue dans le garage d'une maison située à Kariat Oulad Moussa
Les éléments de la gendarmerie Royale avaient intercepté
La gendarmerie royal avaient intercepté une voiture légère, avec à son bord quatre personnes, lors d'un contrôle de routine qui a permis la saisie de 6 kg de chira dissimulée dans le coffre de la voiture immatriculée à Al Hoceima, a indiqué une source sécuritaire.L'enquête préliminaire a révélé que les trafiquants tentaient d'acheminer la drogue vers Al Hoceima pour la revendre.
Dans une un autre cas Les services de la police judiciaire (PJ) de Salé ont arrêté, samedi soir, deux personnes qui cachaient une importante quantité de drogue dans le garage d'une maison située à Kariat Oulad Moussa
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