football Marocain

jeudi 6 mars 2008

Le nouveau sélectionneur connu prochainement

le nom du nouvel entraîneur de l'équipe du Maroc sera connu le lundi 10 mars. Initialement, le successeur de Henri Michel à la tête de la sélection nationale devait être annoncé mardi ou mercredi 4 et 5 mars courant.Mais la réunion du bureau a été reportée à deux reprises. Une chose est acquise pour le moment, le futur sélectionneur national sera Marocain. Cinq noms sont en course pour briguer ce poste. Il s'agit de Fathi Jamal, directeur technique national (qui assure actuellement l'intérim) , Mustapha Madih, actuel coach des FAR, Rachid Taoussi, fraîchement nommé entraîneur du MAS, Badou Zaki, ex-entraîneur national, et Aziz Amri, coach du KACM. Une chose est sûre, la tâche du prochain sélectionneur ne va pas être de tout repos. Il devra être en mesure d'asseoir son autorité et bâtir une équipe compétitive. L'enjeu est de taille, et les objectifs sont nombreux.Il s'agit avant tout de qualifier les Lions de l'Atlas à la prochaine Coupe d'Afrique des Nations prévue en Angola, mais également aux phases finales de la Coupe du monde 2010, qui se déroulera en Afrique du Sud. Pour cela, il faut compter sur le sursaut d'orgueil des Lions, mais également sur celui qui réussira à les encadrer au mieux.Depuis le limogeage du technicien français au début février, la Fédération royale marocaine de football a nommé provisoirement Fathi Jamal entraîneur de l'équipe nationale. Il occupe actuellement les postes de directeur technique national et d'entraîneur de l'équipe olympique. Il conduira le onze marocain lors de la rencontre amicale contre la Belgique prévue le 26 mars prochain à Bruxelles.Plus qu'un sélectionneur, c'est la refonte de notre football qu'il faut. La nomination d'un nouvel entraîneur ne doit pas fermer la porte à la modernisation de nos instances qui sont appelées, plus que jamais, à être plus performantes pour revaloriser notre football terni par de nombreuses désillusions. Tout le monde en convient, le choix d'un nouvel entraineur n'est la panacée, d'autant plus que les causes de l'élimination ne sont pas analysées et disséquées pour en tirer des leçons et éviter, dans le futur, de reproduire les erreurs d'un passé pas très lointain.
source :Le Matin

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