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jeudi 2 octobre 2008

Google Blog Search sur les traces de Google News

Google met en ligne la nouvelle page d'accueil de son moteur de recherche de blogs, Google Blog Search, concurrent direct de Technorati.Des technologies intégrées à Google News, moteur/agrégateur d'actualités, ont été adaptées à la home de Blog Search dans sa version US. Par ailleurs, la partie gauche de l'interface intègre une douzaine de catégories. Les billets relatifs à un même sujet sont regroupés, comme le sont les articles de presse sur Google News. Cette initiative témoigne, s'il en était besoin, de la montée en puissance des blogs, des webzines et des contenus générés par les utilisateurs (UGC) dans la société de l'information.« Aujourd'hui, nous lançons la nouvelle page d'accueil de Google Blog Search en anglais. Toutefois, nous envisageons de rendre le service compatible avec d'autres langues dans les prochains mois », a souligné Michael Cohen, chef de produit Google, dans un billet publié le 1er octobre 2008.
source :www.neteco.com

nouvelle page d'accueil./google blog search/google news/nouveau moteur de recherche google/nouveauté de google/moteur blog search/US/blog earch

lundi 29 septembre 2008

Esthétique. Des seins de jeune fille en deux heures sans chirurgie à Toulouse

Un nouveau produit suédois qui permet de regonfler les seins sans chirurgie vient d'arriver à Toulouse.
Sophie est une pétillante femme de 38 ans, qui exerce une profession libérale à Toulouse et a deux jeunes enfants. Cette Toulousaine a été une des premières, ici, à s'offrir, pour environ 3 000 €, la poitrine de ses rêves, sans passer par la case chirurgie esthétique et avec un résultat immédiat.
Pas de bistouri, pas d'anesthésie générale, ni d'implant mammaire. Il a suffi d'une heure trente, dans un cabinet médical, pour transformer la poitrine de la jeune femme. Avant de partir en vacances, Sophie s'est fait injecter 400 ml de « Macrolane », un produit innovant lancé en janvier 2008 sur le marché européen par le laboratoire suédois Q-Med. L'augmentation mammaire est une nouvelle indication de l'acide hyaluronique stabilisée, un gel biodégradable, d'origine non animale, utilisé notamment pour lubrifier les articulations des genoux, et depuis une dizaine d'années pour lisser les rides.
Du «sur-mesure»
Le « Macrolane », version plus épaisse de l'acide hyaluronique, est arrivé à Toulouse cet été. Le docteur Aurélie Fabie-Boulard, chirurgien plastique, esthétique et réconstructrice a été une des premières à s'y intéresser. Elle fait partie de la vingtaine de chirurgiens français formés à ces injections, au moyen de canules, sous anesthésie locale. Le prix élevé
-entre 3 000 et 3 500€- fait reculer pas mal de femmes, d'autant que le résultat s'estompe progressivement.
Une petite dizaine de patientes de la région ont quand même cassé leurs tirelires depuis cet été.
« Là où cette technique est révolutionnaire, c'est qu'elle permet de regalber le sein de manière précise, un peu comme une sculpture. On fait du sur-mesure et le résultat est naturel, au toucher aussi. C'est intéressant pour les femmes qui ne veulent pas s'arrêter de travailler » explique le dr Fabie-Boulard.
« Mais il faut une bonne connaissance de l'anatomie car on injecte en arrière de la glande mammaire, en profondeur, et toujours après une mammographie ». Au bout d'un an ou plus, il faut recommencer, mais avec moins de produit. La note est moins salée.
Le Macrolane est déjà proposé pour d'autres indications, comme l'augmentation des pectoraux ou le rebondi des mollets.
source ::www.ladepeche.fr

Plan Paulson: les marchés du crédit apprécieront-ils autant que la Bourse?

Le plan de sauvetage des banques américaines, qui doit être soumis au vote du Congrès lundi, devrait soulager les marchés boursiers, mais il ne sera possible de parler de succès que s'il permet d rouvrir le robinet du crédit, complètement
Pendant tout le week-end, les négociateurs du plan ont gardé à l'esprit les attentes de la communauté financière: parvenir à un accord au plus vite possible. Et idéalement, avant l'ouverture des marchés asiatiques lundi matin.
Pour les opérateurs de marché, les institutions financières américaines ne pourront être soulagées que si elles obtiennent l'assurance de pouvoir débarrasser leurs bilans d'actifs invendables. Ce qui devrait soulager leurs homologues des autres pays.
C'est en tout cas l'ambition de l'administration Bush, qui avait proposé ce plan de 700 milliards de dollars le 19 septembre.
La Bourse de New York, entraînant les grandes places financières mondiales, a avancé la semaine dernière au fil des progrès faits dans les négociations, ou reculé à l'annonce de difficultés. Sur la semaine, la patience des investisseurs a été mise à l'épreuve, l'indice Dow Jones ayant perdu 2,15%, et le Nasdaq, à forte composante technologique, 3,98%.
La semaine a été marquée par la plus grande faillite de l'histoire des banques de dépôt aux Etats-Unis, celle de Washington Mutual jeudi.
Les progrès faits par le Congrès lors du week-end et la perspective d'un vote dès lundi pourraient soutenir les actions des banques et les indices, s'ils étaient perçus comme une chance pour les institutions financières d'améliorer leurs perspectives en comptant sur les finances publiques.
Les marchés pourraient cependant faire le diagnostic d'une aggravation de la crise, avec les difficultés du bancassureur belgo-néerlandais Fortis et de la banque britannique Bradford and Bringley (B&B).
Mais au-delà des marchés d'actions (Bourses), le principal verdict est attendu sur les marchés de taux (obligations et prêts interbancaires).
L'inquiétude n'a cessé de grandir ces derniers temps sur ces marchés, traduisant une grave perte de confiance des prêteurs.
Signe le plus tangible, les taux des prêts interbancaires ont bondi. Celui du Libor américain à trois mois, souvent pris comme référence, est passé de 3,210% à 3,762% en une semaine.
Une telle hausse a montré que les banques préféraient conserver leurs liquidités pour elles-mêmes, plutôt que de les prêter de peur de ne pas les récupérer après une éventuelle faillite de l'emprunteur.
La hausse ou la baisse de ce taux lundi fournira une indication cruciale pour savoir si les banques estiment que leurs perspectives s'amélioreront grâce à ce plan. Et si elles se remettront à réalimenter les circuits du crédit.
Les liquidités disponibles sont pourtant très abondantes, les banques centrales en ayant injecté des quantités considérables dans le système financier pour éviter une raréfaction du crédit.
Mais le crédit au secteur privé se tarit malgré tout, à cause d'une crise de confiance.
Les seuls emprunteurs qui trouvent grâce aux yeux des investisseurs sont publics. Parmi les marchés de taux, celui des obligations d'Etat est florissant, étant perçu comme le plus sûr.
Vendredi, le bon du Trésor américain à trois mois s'échangeait avec un rendement de 0,848%, un taux extrêmement compétitif.

source :www.ladepeche.fr

dimanche 28 septembre 2008

La Bourse de Paris a lâché 1,50%, inquiète du sort du plan Paulson

La Bourse de Paris est repartie en baisse vendredi, le CAC 40 lâchant 1,50% dans un marché inquiet de l'absence d'avancées, au cinquième jour de négociations, dans l'adoption du plan américain de sauvetage des banques.
L'indice vedette a cédé 63,43 points à 4.163,38 points, dans un volume d'échanges modeste de 4,4 milliards d'euros, poursuivant son mouvement de yo-yo après avoir perdu 0,61% mercredi et bondi de 2,73% jeudi.
Londres a abandonné 2,09%, Francfort 1,77% et l'Eurostoxx 50 1,58%.
"C'est l'attente, tout le monde a les yeux rivés vers Washington. Prendre position dans un sens ou dans l'autre est suicidaire tant qu'on ne sait pas ce qu'il va advenir du plan Paulson", a expliqué à l'AFP Frédéric Rozier, conseiller de gestion chez Meeschaert.
En dépit d'une réunion exceptionnelle des responsables du Congrès américain autour du président George W. Bush et des deux prétendants à sa succession, John McCain et Barack Obama, aucun accord n'a été trouvé jeudi soir pour l'adoption de ces mesures de sauvetage du secteur financier.
Si un "accord de principe" publié par des parlementaires des deux camps a brièvement suscité l'espoir, un groupe de représentants républicains emmené par Eric Cantor (Virginie) a immédiatement annoncé un contre-plan, centré sur la dette hypothécaire des ménages.
"Ce plan alternatif a peu de chances d'être voté mais il devra être examiné par les commissions, retardant le vote de la loi. Surtout, il souligne l'existence d'une opposition +organisée+" aux mesures Paulson, ont commenté les économistes d'Aurel.
Pour Frédéric Rozier, "on est tous persuadés qu'un plan va être adopté, mais lequel? S'agira-t-il de reprendre le mauvais papier des banques ou de reprendre les créances des particuliers, ce qui pourrait être négatif pour les Bourses?".
Suivant l'hypothèse retenue au Congrès, et à supposer que les discussions se débloquent pendant le week-end, "on sait très bien qu'on peut avoir une belle journée lundi, tout comme une journée exécrable", d'où la faiblesse des volumes, a souligné le gérant.
Malgré la fermeture de la caisse d'épargne américaine Washington Mutual, les financières ont connu des sorts contrastés: BNP Paribas a gagné 1,57% à 68,26 euros, mais Crédit Agricole a chuté de 6,13% à 14,40 euros, Dexia de 7,53% à 10,07 euros et Natixis de 4,85% à 2,55 euros, Société Générale reculant plus modestement de 1,23% à 65,04 euros.
Les autres valeurs ont souffert à la fois des incertitudes sur le plan Paulson et de deux indicateurs décevants aux Etats-Unis, avec la révision en baisse de la croissance du deuxième trimestre et de l'indice de confiance des consommateurs établi par l'université du Michigan.
Alcatel Lucent (-4,19% à 2,92 euros) a été débouté de son appel contre l'éditeur américain de logiciels Microsoft et ne recevra donc pas le 1,5 milliard de dollars de dommages qui lui avaient été consentis initialement.
Air France-KLM (-1,39% à 15,62 euros) a cédé du terrain après les propos du maire de Rome, Gianni Alemanno, affirmant que le groupe français serait le partenaire de la nouvelle Alitalia. Selon des sources industrielles, Air France-KLM serait intéressé par une participation minoritaire, de 10 à 20%, dans la compagnie italienne.
Renault (-1,58% à 47,32 euros) a confirmé que 2.000 emplois, dont 900 en France, étaient visés par son plan de départs volontaires.
EDF Energies Nouvelles (-3,95% à 36,50 euros) a succombé à la morosité du marché malgré le succès de son augmentation de capital lancée le 3 septembre, qui lui a permis de lever près de 500 millions d'euros.
Sodexo (-1,28% à 41,80 euros) a reculé après avoir annoncé l'acquisition de plus de 90% du groupe allemand Zehnacker, spécialisé dans les services de maintenance dans le secteur médical, une opération pourtant saluée par les analystes de Raymond James et du Crédit Mutuel-CIC.
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Euronext (CAC 40)

Maroc: mesures après une fatwa décriée autorisant le mariage de fillettes, selon la presse

RABAT - Les autorités marocaines ont ordonné la fermeture de dizaines d'écoles et d'un site Web dirigés par un religieux musulman qui a avancé que des petites filles de neuf ans pouvaient se marier, selon des informations de presse diffusées vendredi.
Cheikh Mohamed Ben Abderrahman al-Maghraoui a mis en ligne sur son site Web une fatwa très controversée estimant légal qu'un musulman se marie avec une fillette de neuf ans car le prophète Mahomet l'avait fait.
La loi marocaine fixe à 18 ans l'âge minimum du mariage pour une femme et le Conseil supérieur des oulémas du
Maroc -la plus haute autorité religieuse du pays- a dénoncé cette fatwa, en qualifiant son auteur d'"agitateur".
"Ce que le prophète peut faire n'est pas" possible pour les "musulmans ordinaires", a déclaré l'avocat Mourad el Bekkouri, qui a déposé une plainte contre le cheikh en septembre, demandant au "procureur du roi de poursuivre Al-Maghraoui pour promotion de la pédophilie et du viol".
Des responsables du gouvernement ont déclaré qu'au moins une trentaine d'écoles coraniques seraient fermées, a rapporté vendredi un média local. Un représentant du ministère de la Religion a été remercié dans la ville de Marakkech pour n'être pas intervenu, selon le quotidien Al-Ahdath Al-Maghribiya.
L'avocat Mourad el Bekkouri a confirmé les informations de presse, que n'a pas commenté dans l'immédiat cheikh Mohamed Ben Abderrahman al-Maghraoui. Plusieurs quotidiens ont rapporté que ses écoles religieuses et son site Web étaient financées par l'Arabie saoudite, qui promeut le wahhabisme.

source :AP
fatwa al-magrhraoui/fatwa marocai/site almagraoui.