Les parasites
L’estafette :
« Les policiers font partie intégrante de notre environnement. Comme je suis souvent soûle la nuit, je suis, même seule, fatalement hors-la-loi. Là, je donne au maximum 50 dirhams », concède cette prostituée casablancaise. Mais là où les « gardiens de la paix » font leur beurre, c’est avec les clients des prostituées repérées dans les taxis. Les policiers jouent sur la panique des hommes qu’ils accusent de relations sexuelles hors mariage (fassad). L’addition est corsée et le tarif pour dépend de ce que la « victime » a dans les poches.
Le videur.
Maillon important de la chaîne, c’est lui qui laisse entrer les filles en boite de nuit, leur principal lieu de travail. Lorsqu’elles repartent avec un client, la dîme pour le cerbère va de 50 à 200 dirhams. Certains patrons de boîte paient les videurs en fonction des bouteilles d’alcool englouties. Les bonnes « entraîneuses » auront davantage la cote pour entrer dans les nights clubs et y alpaguer le client.
La taulière
C’est là où tout finit, dans les chambrettes d’appartement louées à la nuit par d’anciennes prostituées qui se constituent un réseau de filles de joie. Tous les clients qui ne veulent pas aller à l’hôtel (trop risqué) ou chez eux, se retrouvent dans ces lieux sordides pour un tarif de 300 Dh minimum. La taulière reverse en général 100 Dh à la prostituée lorsque le client est parti.
Le(a) rabatteur ( teuse) :
Généralement jeune, il a ses quartiers dans les cafés chics de la métropole. Plus rabatteur que maquereau à l’américaine (il n’est pas ici question de protection mais seulement d’entremise), il prend 100 à 500 Dh pour une passe, qui variera souvent entre 500 et 3500 dirhams. Son « cheptel » est composé d’une dizaine de jeunes filles, parfois même de jeunes garçons.
L’estafette :
« Les policiers font partie intégrante de notre environnement. Comme je suis souvent soûle la nuit, je suis, même seule, fatalement hors-la-loi. Là, je donne au maximum 50 dirhams », concède cette prostituée casablancaise. Mais là où les « gardiens de la paix » font leur beurre, c’est avec les clients des prostituées repérées dans les taxis. Les policiers jouent sur la panique des hommes qu’ils accusent de relations sexuelles hors mariage (fassad). L’addition est corsée et le tarif pour dépend de ce que la « victime » a dans les poches.
Le videur.
Maillon important de la chaîne, c’est lui qui laisse entrer les filles en boite de nuit, leur principal lieu de travail. Lorsqu’elles repartent avec un client, la dîme pour le cerbère va de 50 à 200 dirhams. Certains patrons de boîte paient les videurs en fonction des bouteilles d’alcool englouties. Les bonnes « entraîneuses » auront davantage la cote pour entrer dans les nights clubs et y alpaguer le client.
La taulière
C’est là où tout finit, dans les chambrettes d’appartement louées à la nuit par d’anciennes prostituées qui se constituent un réseau de filles de joie. Tous les clients qui ne veulent pas aller à l’hôtel (trop risqué) ou chez eux, se retrouvent dans ces lieux sordides pour un tarif de 300 Dh minimum. La taulière reverse en général 100 Dh à la prostituée lorsque le client est parti.
Le(a) rabatteur ( teuse) :
Généralement jeune, il a ses quartiers dans les cafés chics de la métropole. Plus rabatteur que maquereau à l’américaine (il n’est pas ici question de protection mais seulement d’entremise), il prend 100 à 500 Dh pour une passe, qui variera souvent entre 500 et 3500 dirhams. Son « cheptel » est composé d’une dizaine de jeunes filles, parfois même de jeunes garçons.
Lejournal-hebdo nº 196. Du 19 au 26 fevrier 2005
Prochainement les autres parties de (Maroc : Le business du sexe)
Meknès.« Mieux qu’un car d’Allemands » sexe a meknes
A Casa, tout le monde en profite .sexe a casa
Aïn Leuh. sexe a ain leuh
Marrakech.sexe a marakech
Rabat.sexe a rabat.
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